Réflexion

[Unelouvefemme]

Quoique tu rêves d'entreprendre, commences le ... l'audace a du génie ... 

belle maxime de Goethe, qui peut aussi "coller" au choix du libertinage ... 
oser, vouloir, foncer pour trouver le plaisir

[Christel22]

Je te rejoins là dessus

Le plus dur en général, c'est de se lancer, d'oser faire ce premier pas qui nous paralyse parfois fort fort longtemps

[isard]

Le premier pas est toujours le plus dur à faire.

[Thio011]

Tout a fait d'accord

[Lucky]

Alors OSONS....
la vie de ceux qui osent est moins monotone plus riche et plus épanouissant que les autres. Pour le libertinage je suppose que c'est pareil...

[Christel22]

Alors OSONS....
la vie de ceux qui osent est moins monotone plus riche et plus épanouissant que les autres. Pour le libertinage je suppose que c'est pareil...

Rien que la "fierté" d'avoir osé dépasser ses limites, de passer au dessus de sa timidité... Rien que pour ça, ça en vaut la peine

[Lucky]

C'est vraiment une situation qui renforce l'estime de soi et la confiance en soi... un peu comme mettre une photo au 10. Mais en plus grand j'imagine lors d'une soirée libertine.

[Unelouvefemme]

Alors OSONS....
la vie de ceux qui osent est moins monotone plus riche et plus épanouissant que les autres. Pour le libertinage je suppose que c'est pareil...

Rien que la "fierté" d'avoir osé dépasser ses limites, de passer au dessus de sa timidité... Rien que pour ça, ça en vaut la peine

bien sur, oui ... franchir des barrières qui limitaient notre vision des choses et empêchaient d'avancer ... 
dans le libertinage, c'est ce que je fais

[Flyman49]

Je l'ai fait toute ma vie, j'ai toujours aimé les sensations et les choses atypiques.

[Christel22]

bien sur, oui ... franchir des barrières qui limitaient notre vision des choses et empêchaient d'avancer ... 
dans le libertinage, c'est ce que je fais

Et l'air de rien, ça aide pour le quotidien. Excellent pour la confiance et l'estime de soi

Je l'ai fait toute ma vie, j'ai toujours aimé les sensations et les choses atypiques.

Non mais toi, tu passes ton temps à t'envoyer en l'air... Avec ton gros engin ballon

[Lucky]

je m'étais fait la même réflexion pour  Flyman!

[Flyman49]

Non non j'ai eu une longue période avec des engins motorisé terrestres (principalement 2 roues) avant de découvrir la troisième dimension.

Spoiler:

[Lifthrasir]

et c'est là que rentre le problème d'une grande exigence avec soi même et d'un résultat attendu .... je peux ne pas me lancer car je sais que je ne serai pas à la hauteur de mes attentes.

Pour ça l'aquarelle est un super outil de travail (on retourne au lâcher prise?) car l'eau fait bien ce qu'elle veut et on peut avoir des surprises... mais j'ai du mal à m'y mettre car je sais que je n'obtiendrai pas le résultat attendu.

Et j'ai un concours en vu aussi mais je préfère ne pas le passer que risquer d'échouer.... (dis celle qui n'a jamais raté un seul examen/concours et qui du coup se met une pression dingue et dont l'entourage est persuadé qu'elle réussira aussi du 1er coup).... alors qu'au final j'ai juste à gagner une réussite mais ne pas faire est moins douloureux pour mon estime actuellement que faire et passer à côté...

[isard]

agreg ???

[Unelouvefemme]

Il faut oser  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ; car ne pas le faire par peur d'échouer peut laisser des regrets amers

[la-souris]

.

[isard]

Bof, de toutes façons  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], le non, tu l'as déjà alors vas chercher. Que risques tu hormis de décrocher ce fameux oui ? Strictement rien !

[Lifthrasir]

L'aquarelle j'ai tenté.... Ouch... J'ai regardé quelques tutos.... Re-ouch mais un peu moins.... Après je me dis que le matériel peut aussi jouer... Et puis histoire de temps dispo pour m'y remettre vraiment...

Pour le concours l'agreg je n'y pense même plus.... Personnel de direction plutôt... Mais l'âge de mes enfants est aussi un points dans la colonne du "on verra plus tard" assez important, on m'a suggéré aussi récemment à plusieurs reprises le caffa (si c'est bien le nom /abbreviation) pour être formatrice auprès d'adultes /étudiants futurs enseignants

[isard]

ça a l'air bien le caffa et tu serais moins ennuyée

[Lucky]

L'aquarelle j'ai tenté.... Ouch... J'ai regardé quelques tutos.... Re-ouch mais un peu moins.... Après je me dis que le matériel peut aussi jouer... Et puis histoire de temps dispo pour m'y remettre vraiment...

Pour le concours l'agreg je n'y pense même plus.... Personnel de direction plutôt... Mais l'âge de mes enfants est aussi un points dans la colonne du "on verra plus tard" assez important, on m'a suggéré aussi récemment à plusieurs reprises le caffa (si c'est bien le nom /abbreviation) pour être formatrice auprès d'adultes /étudiants futurs enseignants

Passe l'agreg avant le Cafa.

Attention le cafa est un examens exigeant. Enfin selon les académies. Et qd tu prends une décharge c'est en fait très lourd les 1ere années en terme de temps de préparation. Mais hyper intéressant.

Cafa = certificat d'aptitude aux fonctions de formation académique 
Ds ta matière l'agrégation doit être accessible en interne. Mais effectivement c'est prenant.

[Butterfly]

et c'est là que rentre le problème d'une grande exigence avec soi même et d'un résultat attendu .... je peux ne pas me lancer car je sais que je ne serai pas à la hauteur de mes attentes

Encore une fois, tes mots expriment exactement ma pensée. 
Heureusement pour ma part cela n'a pas trop touché le domaine professionnel où j'ai osé et j'ose encore les défis car sinon je m'ennuie mais je suis perfectionniste et aussi exigeante envers mes collègues qu'envers moi-même... 
En revanche cela interdit toute tentative artistique ou même aux fourneaux. 
Je crains l'avoir transmis à notre dernier mais j'ai retenu [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ce que tu as écris sur l'importance de leur montrer notre confiance en nous pour qu'ils construisent la leur...

[ptv]

A tout ce qui précède je ne veux rappeler que deux maximes :
Sénèque tout d'abord : 

Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.

Et ensuite, Marcel Pagnol :

Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.

Je crois que tout est dit là !

[Invité]

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[Lucky]

Excellent  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

[la-souris]

.

[Lucky]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] 

 une solution   que certaines personnes, dont tu fais partie , peuvent se permettre :

oser, tout en te disant qu'en cas d'échec, tu sauras mobiliser toute ta force intérieure, ta lucidité,  ta capacité d'analyse, pour te relever. 

ne me dis pas que tu n'as pas ces "articles en magasin".

tout ce que tu as écrit  (et que je suis depuis très longtemps ) prouve le contraire. 

 cet argument est donc non recevable.

Totalement d'accord...
Et oser pour ne pas regretter de n'avoir pas avoir osé. 
En plus le risque de perdre qq chose à part du temps est faible dans le cas de l'agreg

[Lifthrasir]

Je crois que dans le fait de ne pas oser il y a la crainte de perdre de la valeur aux yeux de mon entourage. Promis c'est un sujet que je travaille avec ma psy, car j'ai appris à briller par le domaine scolaire enfant, à être très sage, pour ne pas perdre l'amour de mes parents, à réussir là où eux n'ont pu réussir,à être la 1ère à avoir mon bac même en passant après 2 grandes sœurs, à faire des études supérieures récoltant des mentions là où personne avant n'avait mis les pieds (familles issues de l'agriculture et du monde ouvrier). J'ai vécu l'angoisse des résultats du capes car tout le monde était persuadé que je l'aurai du 1er coup et moi qui savait que ce n'était pas juste la récolte de mon travail mais pour la 1ere fois la mise en concurrence avec celui des autres et le hasard du sujet portant sur 4 années d'études.... La peur de décevoir....

Pour finalement leur donner raison.... Et augmenter la peur d'échouer et de décevoir... Cette même peur qui me donnait une tension à 18/12 en 6ème pour le dernier conseil de classe à l'idée de redoubler alors que j'étais dans les 3 premières de classe, cette même peur qui m'a poussée à poursuivre ma 1ere histoire d'amour jusqu'au mariage, cette même peur qui ne voulait pas envisager le divorce quand c'était pourtant la seule solution...

Apprendre à connaître sa valeur par soi même et non par leur regard est mon plus gros défi...

[la-souris]

.

[isard]

L'enfance, ses chagrins ou c'est chagrin, l'éducation reçue, la façon d'agir des parents, ses peurs et angoisses, nous suit quand nous sommes adultes

[Lucky]

Je crois que dans le fait de ne pas oser il y a la crainte de perdre de la valeur aux yeux de mon entourage. Promis c'est un sujet que je travaille avec ma psy, car j'ai appris à briller par le domaine scolaire enfant, à être très sage, pour ne pas perdre l'amour de mes parents, à réussir là où eux n'ont pu réussir,à être la 1ère à avoir mon bac même en passant après 2 grandes sœurs, à faire des études supérieures récoltant des mentions là où personne avant n'avait mis les pieds (familles issues de l'agriculture et du monde ouvrier). J'ai vécu l'angoisse des résultats du capes car tout le monde était persuadé que je l'aurai du 1er coup et moi qui savait que ce n'était pas juste la récolte de mon travail mais pour la 1ere fois la mise en concurrence avec celui des autres et le hasard du sujet portant sur 4 années d'études.... La peur de décevoir....

Pour finalement leur donner raison.... Et augmenter la peur d'échouer et de décevoir... Cette même peur qui me donnait une tension à 18/12 en 6ème pour le dernier conseil de classe à l'idée de redoubler alors que j'étais dans les 3 premières de classe, cette même peur qui m'a poussée à poursuivre ma 1ere histoire d'amour jusqu'au mariage, cette même peur qui ne voulait pas envisager le divorce quand c'était pourtant la seule solution...

Apprendre à connaître sa valeur par soi même et non par leur regard est mon plus gros défi...

Tenter l'Evrest, si préparer à minima, n'est jamais un échec pour un observateur extérieur ou un proche. Il ne pourra que t'admirer un peu plus car tu auras tenté,  osé.
Le seul risque c'est de savoir comment tu vivras cet échec, s'il est au bout. La réussite n'est pas un risque . Mais c'est le plus gros risque ... si cela peut entraîner 10ans de psychanalyse, une dépression. Dans ce cas ne tengage pas a passer ce concours, retourne dans ton jardin secret ou fleuri, occupe toi de tes élèves, de tes enfants, de ta famille et surtout de toi... prends soin de toi avant tout. Et laisse l'agreg aux collègues, cela n'enlèvera rien à ta valeur de prof.


Peut-être que certains ne peuvent pas envisager l'échec pour toi, car ils ne mesurent pas la difficulté d'un concours. La petite part de chance...ou mal chance mais ce n'est pas grave à leur yeux tu resteras leur références et la belle personne que tu es.

Mais tu ne perdras pas de valeur à avoir oser de monter... c'est que toi seul qui peux chuter alors assure toi bien. Et ne grimpé que si tu sais que tu ne vas pas décrocher...

[Lifthrasir]

merci à tous pour vos messages que je reçois comme des cadeaux. D'ailleurs j'en ai reçu un très beau aujourd'hui. 

J'ai dans ma classe une élève dont ma soeur connait la maman depuis le lycée. Elles se sont vues hier et comme elle lui a précisé "je ne dis pas cela car c'est ta soeur" mais visiblement sa fille estime que je suis la meilleure prof qu'elle ait eu dans sa scolarité (et je ne la ménage pas, le principe de la main de fer mais avec le gant de velours) et la maman ressent à travers mes cours, la passion, l'amour pour ce job et mes élèves et non la lassitude que l'on pourrait être en droit de ressentir et que j'exprime parfois ici ou ailleurs. Cela m'a remis du baume au coeur après cette semaine difficile.


Honnêtement, l'agreg je la laisse doucement s'envoler car j'ai beaucoup perdu en connaissances à exercer uniquement au collège depuis 20 ans et le temps à consacrer pour une remise à niveau, je préfère le consacrer à mes enfants qui me voient déjà bien trop devant un écran ou en correction les weekends. Par contre celui de personnel de direction, reste dans mon viseur pour le moment, j'attends que les petits soient un peu plus grands/autonomes pour se déplacer (préparation du concours les mercredis après midi incompatibles avec les activités périsco des enfants niveau horaires dont un déjà en compétition régionale poussin indiv et équipe ne pouvant rater les entrainements).

[Lucky]

Quelque soit ton choix l'important est de maintenir la source de la nouveauté du rebondissement ds ta carrière. On ne peut pas envisager passer un concours et reprendre un cours d'une année sur l'autre sans changer une virgule... un mode d'intervention pédagogique ou autre. Il faut vivre avec son temps. Évoluer et être ds l'innovation rends le jardin plus fleurissant.

Tu as reçu hier La plus belle des  reconnaissnaces. Celle là même qui compte autant, voir plus qu'une augmentation de salaire..  j'adhère.

[isard]

Au regard du spectacle d'hier que je considère comme une Ode à l'égalité et à une suppression de ce qui fait de nous des personnes, petite réflexion sur l'égalité.

Comme le soulignait Anna Arendt, la révolution américaine s’est faite au nom de la liberté (1775 – 1783) alors que la révolution française repose avant tout sur le principe d’égalité (1789-1799). Cela a pour conséquences ce que constatait Alexandre Soljenitsyne : « Les hommes n’étant pas dotés des mêmes capacités, s’ils sont libres, ils ne seront pas égaux, et s’ils sont égaux, c’est qu’ils ne sont pas libres. »

Les conséquences principales de la liberté ont besoin de temps pour apparaître alors que l’égalité est présentée comme résultante de l’absence de liberté.

Aussi, quand il y a la liberté installée, il n’y a pas l’égalité quand la première citée est une réalité, hormis pour les droits fondamentaux, les droits de et pas les droits à. Le principe d’égalité de la révolution c’est celui d’égalité devant la lois, avec la nuit du 4 aout et l’abolition des privilèges, et la DDHC et son article premier : Tous les citoyens naissent libres et égaux EN DROITS. 
Ca part en coquille en 1792 avec la proclamation de la raie publique.

Finalement,  Tocqueville avait raison et nous sommes dans la société qu'il ne voulait pas. Il estimait que les français chérissaient tellement l’égalité égalitaire qu’ils seraient prêts à être esclaves pour l’obtenir.

Ce pays étant la fille ainée de l’église, c’est aussi celui des 7 pêchés capitaux à l’œuvre perpétuellement, l'un expliquant l'autre.

Maintenant, pour ceux qui rêvent d'égalité, et à la lumière de ce qu'il se passe dans des pays se vantant qu'ils y sont parvenus, on s'aperçoit qu'il y en a qui sont plus égaux que d’autres comme disait Coluche. A se demander s'il n'a pas lu Orwell (La ferme des Animaux) : Tous étaient égaux mais certains l’étaient plus que d’autres…

[Unelouvefemme]

Je crois que dans le fait de ne pas oser il y a la crainte de perdre de la valeur aux yeux de mon entourage. Promis c'est un sujet que je travaille avec ma psy, car j'ai appris à briller par le domaine scolaire enfant, à être très sage, pour ne pas perdre l'amour de mes parents, à réussir là où eux n'ont pu réussir,à être la 1ère à avoir mon bac même en passant après 2 grandes sœurs, à faire des études supérieures récoltant des mentions là où personne avant n'avait mis les pieds (familles issues de l'agriculture et du monde ouvrier). J'ai vécu l'angoisse des résultats du capes car tout le monde était persuadé que je l'aurai du 1er coup et moi qui savait que ce n'était pas juste la récolte de mon travail mais pour la 1ere fois la mise en concurrence avec celui des autres et le hasard du sujet portant sur 4 années d'études.... La peur de décevoir....

Pour finalement leur donner raison.... Et augmenter la peur d'échouer et de décevoir... Cette même peur qui me donnait une tension à 18/12 en 6ème pour le dernier conseil de classe à l'idée de redoubler alors que j'étais dans les 3 premières de classe, cette même peur qui m'a poussée à poursuivre ma 1ere histoire d'amour jusqu'au mariage, cette même peur qui ne voulait pas envisager le divorce quand c'était pourtant la seule solution...

Apprendre à connaître sa valeur par soi même et non par leur regard est mon plus gros défi...

Pour ma part, je pense que, rien que le fait que tu oses les rendra fiers de toi ... quelque soit le résultat ... ça serait juste ton égo qui en pâtirait si échec ...

[Lucky]

Je crois que dans le fait de ne pas oser il y a la crainte de perdre de la valeur aux yeux de mon entourage. Promis c'est un sujet que je travaille avec ma psy, car j'ai appris à briller par le domaine scolaire enfant, à être très sage, pour ne pas perdre l'amour de mes parents, à réussir là où eux n'ont pu réussir,à être la 1ère à avoir mon bac même en passant après 2 grandes sœurs, à faire des études supérieures récoltant des mentions là où personne avant n'avait mis les pieds (familles issues de l'agriculture et du monde ouvrier). J'ai vécu l'angoisse des résultats du capes car tout le monde était persuadé que je l'aurai du 1er coup et moi qui savait que ce n'était pas juste la récolte de mon travail mais pour la 1ere fois la mise en concurrence avec celui des autres et le hasard du sujet portant sur 4 années d'études.... La peur de décevoir....

Pour finalement leur donner raison.... Et augmenter la peur d'échouer et de décevoir... Cette même peur qui me donnait une tension à 18/12 en 6ème pour le dernier conseil de classe à l'idée de redoubler alors que j'étais dans les 3 premières de classe, cette même peur qui m'a poussée à poursuivre ma 1ere histoire d'amour jusqu'au mariage, cette même peur qui ne voulait pas envisager le divorce quand c'était pourtant la seule solution...

Apprendre à connaître sa valeur par soi même et non par leur regard est mon plus gros défi...

Pour ma part, je pense que, rien que le fait que tu oses les rendra fiers de toi ... quelque soit le résultat ... ça serait juste ton égo qui en pâtirait si échec ...

Oui pour ta part, vue de l'extérieur,  mais je comprends tout à fait les craintes de ne pas "être à la hauteur " des attentes et espoirs de ces proches pour  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
Il faut juste transférer cette pression négative en positive pour réussir à oser. Mais ce n'est pas si simple surtout qd les hasards de la vie ne vous ont pas épargné

[Lucky]

Au regard du spectacle d'hier que je considère comme une Ode à l'égalité et à une suppression de ce qui fait de nous des personnes, petite réflexion sur l'égalité.
.....

Maintenant, pour ceux qui rêvent d'égalité, et à la lumière de ce qu'il se passe dans des pays se vantant qu'ils y sont parvenus, on s'aperçoit qu'il y en a qui sont plus égaux que d’autres comme disait Coluche. A se demander s'il n'a pas lu Orwell (La ferme des Animaux) : Tous étaient égaux mais certains l’étaient plus que d’autres…

Très belle dialectique  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] effectivement être libre et égaux est contradictoire dans la réflexion philosophique mais cette recherche ne peut être que louable politiquement.  Pas la politique des médias mais la grande Politique, celle qui ce veut donner des principes de vie en société, dans la cité.
C'est ce que je ressens n'ayant pas ta culture.

Et pour revenir à  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et la pression qu'elle peut ressentir face aux attentes de ses proches elle n'est pas libre de cela et pas égale à d’autres ici. Pour le devenir elle doit s'émanciper de ces attentes de ses proches pour agir plus égoïstement principalement pour elle. Personne ne peut le dire et le faire pour elle.
Juste accepter que l'échec est envisageable,  c'est ce qu'elle apprend tous les jours à ces élèves.  Mais "faites ce que je dis et pas ce que je vis."

[isard]

être libre et égaux est contradictoire dans la réflexion philosophique mais cette recherche ne peut être que louable politiquement. Pas la politique des médias mais la grande Politique, celle qui ce veut donner des principes de vie en société, dans la cité

La politique n'est que le fruit de réflexions philosophiques. Celles d'aujourd'hui trouvent ses prémices dans Rousseau.

D'un certain côté, je suis d'accord avec toi sur l'égalité voulue lors de la révolution: mettre fin aux 3 ordres pour que chaque citoyen ait les mêmes droits que les autres.

Or cette égalité, nous l'avons aujourd'hui, presque globalement ("Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir", La Fontaine, existe encore au niveau de la perception au moins)

Donc tout autre recherche d'égalité n'est pas louable de mon point de vue car nous n'avons pas les mêmes capacités génétiques, d'éducation, de caractère… Une telle recherche n'a donc comme conséquence qu'amener à une perte des libertés individuelles et collectives.
Le problème vient que nous sommes biberonnés avec l'héritage mis en place par Maurice Thorez, une personne aux ordres de Staline, dès 1945. Et que les gens, éduqués depuis l'école et la naissance, sont convaincus qu'une telle égalité soit possible.
Les différentes tentatives réalisées depuis 1920 montrent malheureusement le contraire et que ça finit toujours dans le sang ou une dictature.

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