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Yorga
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Yorga
Il est tard, tu fais ta séance de yoga. Bien sûr, je n'y connais absolument rien en yoga, donc comme tout bon ignorant, je t'imagine juste assise en tailleur sur un tapis, dans une tenue confortable mais légère, paisible, les yeux fermés, concentrée sur les sensations de ton corps, sur le rythme de ton souffle. Mais voilà, étrangement tu es seule dans cette grande salle sombre, juste éclairée par les lueurs extérieures de la ville nocturne. Tu as oublié l'heure, tu es perdue dans tes pensées, je m'approche à pas de loup par derrière toi, t'observer tranquillement, profiter simplement du doux spectacle de ton visage détendu, de ton corps relaxé juste remué de lentes respirations. Avec grandes précautions je m'approche de ta nuque, j'y dépose un baiser aérien. Tu ne bronches pas, comme si tu n'avais fait qu'attendre cela, seul le tendre dessin d'un sourire sur tes lèvres... Tu ne bouges toujours pas, concentrée maintenant plus sur la chaleur de mon souffle dans ton cou que sur ta propre respiration. Tu sens quelque chose sur ton visage... Non, pas une main, pas une bouche, la sensation étrange d'une étoffe qui descend ton front, passe devant tes paupières, puis se resserre derrière tes cheveux. Tes paupières se soulèvent mais le noir demeure, pourtant nulle peur en toi, tu es aveugle mais sereine, tu me sens derrière toi, tu sens ma chaleur, mon envie de contrôler le jeu. Heureux de te voir rester ainsi sans broncher, les yeux bandés et le sourire interrogateur, j'embrasse à nouveau ta nuque alors que mes mains couvrent tes épaules, courent le long de tes bras, puis viennent enserrer ta taille. Un léger murmure alors que mes lèvres dérivent de ta nuque vers ta gorge, pour remonter vers ta joue. Cueillir tes lèvres, enfin, tout doucement, sans précipitation, j'essaye de prendre le plus de temps possible, que ton souffle reste profond, que tout tes sens, ou presque, restent en éveil, en attente de mes caresses. Mes mains ont glissé sous le tissu, sur la peau de tes hanches, passant sur ton ventre avant d'entamer leur remontée. Tu n'as toujours pas bougé, tu sens mes grandes jambes entourer les tiennes, mon torse se coller dans ton dos, mes mains agripper tes seins...
Mais soudain mes mains relâchent leurs prises, mes lèvres quittent les tiennes, tu ne sens plus la chaleur de mon torse. Un instant tu frissonnes, tu doutes, aurais-tu rêvé ? Puis tout d'un coup tu sens le tissu de ton haut s'écarter de tes hanches, puis s'envoler vers le haut, tu laisses tes bras se faire soulever par le mouvement, tu sens l'air plus frais envelopper ta peau, tes cheveux secoués par cette envolée de ta parure. Une légère lueur l'espace d'un instant, ton bandeau vacille, mais aussitôt des doigts s'empressent de le remettre bien en place: l'obscurité gagne à nouveau. Comme s'ils étaient partout, ces mêmes doigts qui étaient empressés dans tes cheveux sont déjà sur tes épaules, à faire glisser les bretelles de ton soutien-gorge. Des lèvres se posent sur l'épaule ainsi libérée. Alors que ce doux baiser se répète et se répète encore, ces doigts, décidément partout à la fois, dégrafent l'attache de ce soutien-gorge déjà superflu.
Ton bras se lève, ta main se pose dans mes cheveux accompagnée d'un léger murmure, mais, non, cette participation est aussitôt rejetée, et je t'impose aussitôt de reprendre ta pose, sage et impuissante.
La dentelle glisse, tes seins sont nus, tes tétons déjà en attente, impatients, si impatients. Encore une pause, un instant, est-il bref ? Tu ne le sais pas, tu le trouves si long, si interminable... Privée de contact, de sensation, tu te concentres sur ton ouïe: encore un bruissement de tissu, quelque chose tombe dans un bruit étouffé. Puis la chaleur qui monte à nouveau dans ton dos: de la peau, une peau chaude et enveloppante vient épouser ton dos, de longues ailes couvrent tes bras, mon souffle revient sur ta joue, tu frissonnes, tes tétons semblent appeler au secours. Des baisers encore: ta joue, ton cou, ton épaule, le long de ton bras droit. Concentrée sur ce parcours, tu es surprise quand des ongles viennent frôler ta hanche opposée. Ils grimpent ton côté, passent sur tes côtes, pas trop vite, arrivent sous le galbe de ton sein, dessinent avec envie ce délicieux arrondi, convergent vers ton aréole... Un long frisson encore, ma bouche est revenue dans ton cou, devenant plus mordante alors que mes doigts tournent autour d'un téton suppliant. La chaleur de ma main droite apparait sur ta cuisse au travers de ta dernière couverture. Déjà tu as envie de m'inviter à l'enlever au plus vite, mais ta bouche reste scellée, tu as compris que je veux mener la danse...
Tu gémis... Non plus un simple souffle approbateur, mais bien un vrai gémissement alors que mes doigts serrent ton téton, glissent de sa base vers sa pointe, retournent presser ton sein et répètent avec application cette manœuvre qui semble tant te plaire. Mes dents mordillent ton lobe, mon souffle te murmure des encouragements à te laisser aller. La chaleur... La chaleur sous mes doigts, non, pas ceux-là qui sont encore affairés autour de ton sein si sensible, mais les autres, plus bas, qui pressent à travers le tissu au creux de tes cuisses largement écartées. Cette délicieuse quête de chaleur, à tâtons, juste guidée par la montée de la température et par l'accélération de ton souffle à mesure que je semble converger à l'endroit le plus juste. Mon index mène l'expédition, appuyant juste ce qu'il faut pour pouvoir t'arracher un frisson et encore un léger bruit, comme un cri étouffé, suivi d'un soupir si long... Une lente transition, rien ne bouge ou presque, si ce n'est que tu sens mes deux mains abandonner leurs prises à l'unisson, et en parfait équilibre glisser chacune sur un côté, l'une grimpant, l'autre dévalant ta peau, pour simplement inverser leurs positions, que ton sein droit profite enfin des caresses qu'il réclame. En douceur, tout en douceur, je te caresse encore, inlassablement, patiemment. Tu as perdu ma bouche, tu ne sais plus où sont mes lèvres, tu ne sens plus mon souffle, mais mes doigts sont toujours là, pressant, appliqués, si doux...Un très bref instant, eux aussi disparaissent, mais avant même que tu n’aies eu le temps de t'en inquiéter, tu sens ma bouche mordre, juste là, à la jointure de ton cou et de ton épaule, tandis que mes deux mains viennent agripper très brusquement tes seins et les presser avec ardeur, les doigts plantés dans cette tendre chair, tes tétons serrés fortement entre mes phalanges, te plaquant contre mon torse, mes dents, ma langue passant d'un côté à l'autre de ton cou. Tu murmures quelque chose, presque inaudible: que tu aimes, que tu m'aimes ? Je ne suis pas sûr, quoi qu'il en soit j'en deviens encore plus mordant, pressant, ma main droite plongeant avec vigueur sur ton ventre, chercher l'accès sous le tissu plus bas. Sans aucune hésitation, mes doigts s’invitent directement dans ta culotte. Tes cuisses semblent s'écarter encore plus largement...
Tu te mords la lèvre pour contenir tes gémissements alors que mes doigts s'affairent autour de cette brûlante partie de ta personne. Tu sens mon buste se dérober... Un instant contractée, tu obtempères finalement quand ma main gauche, quittant à regret ton sein, entraine ta tête en arrière pour venir la reposer sur mon épaule plus loin derrière, te positionnant ainsi à moitié allongée, appuyée contre moi, les jambes désormais largement écartées. Mon index te pénètre, tout doucement, tandis que tes dents mordillent mes doigts qui te maintiennent encore ainsi basculée. J'explore avec délicatesse, me délectant de tes moindres réactions. Par moments je m'arrête, je t'observe, je t'écoute... Tu es tendue, vibrante, tu frissonnes à chaque fois que mes mouvements reprennent. Je te caresse, dehors, dedans, alternant la douceur et hardiesse, mon doigt s'enfonçant parfois le plus profondément possible. Mon majeur aussi se prend au jeu, venant presser un peu plus loin une autre zone fort sensible. Tu vibres plus fort encore, tu sembles proche de basculer, j'ai tellement envie que tu jouisses... Mais non, pas tout de suite, je me force à la patience. Lentement les doigts remontent de ton sexe si humide vers ton ventre oscillant de profondes respirations. Un long murmure s'échappe, est-ce un reproche ? Peu importe, je te guide encore. Mon épaule disparait, laissant juste une main derrière ta nuque alors que ton buste est entrainé en arrière. Je t'allonge complètement sur le sol. Tout s'évanouit à nouveau: plus aucune sensation, pas de bruit, pas de contact, tu ne sais plus où je suis. A travers le tissu du bandeau, il te semble juste percevoir des variations de luminosité, des ombres, je dois me déplacer dans la pièce, à pas de loup. Une main sur ton front, caressante, un baiser léger comme l'air sur tes lèvres. Encore le vide, inquiétant, excitant... Le tissu de ton pantalon descend soudain de tes hanches et s'échappe le long de tes jambes, nues maintenant. Sans intermède, ta culotte suit le mouvement. Entièrement, si parfaitement nue, allongée à même le sol, frais, tu as l'impression de sentir sur ta peau la brûlure de mon regard qui se repait de ce spectacle sans aucune retenue, glissant de ta délicieuse poitrine vers ton pubis entièrement dévoilé...
La brûlure se fait plus intense, plus réelle, c'est un souffle, mon souffle chaud qui parcoure ta peau. Mes lèvres se posent sur ton ventre, te déclenchant un léger spasme. Encore une fois, tu plaques tes mains dans mes cheveux, mais je te saisis aussitôt les poignets pour te les repositionner sagement le long de ton corps en fièvre. Tu grognes mais tu le laisses faire, te cambrant un peu plus comme pour supplier que ma bouche s'occupe de tes seins. Mais la brûlure disparait encore, mes lèvres se sont envolées, tu t'apprêtes à protester mais je coupe court à toute réclamation, plaquant ma main entre tes cuisses, pressante, empressée, tout de suite ambitieuse, invasive. Tu veux gémir mais ma bouche est sur la tienne, ma langue réquisitionne la tienne, qui obéit avec enthousiasme. Ma main gauche torture délicieusement ton sein droit, alors que mes doigts te font doucement monter vers la jouissance. Ta langue réjouie, je la libère et tu sens la morsure de mes dents sur ton téton gauche, puis le droit, puis à nouveau le gauche. Encore, encore, je mords, je suce, je lèche, je me régale. Tu gémis de plus en plus fort, tu me parles, tu m'encourages, tu me dis que tu vas jouir, et... tu ne mens pas, après un lent crescendo, tu laisses échapper un cri, un spasme, puis un autre, tu te cambres, ton téton s'incruste dans ma bouche quand ton corps se plie en arrière dans l'ultime plaisir. Tes cuisses se referment soudainement sur ma main. Encore de petites secousses de ta silhouette tremblante, encore de petits bruits, puis le profond relâchement, tu sembles fondre d'un coup, te souder au sol, tu n'es plus là...
Où es-tu partie d'ailleurs ? Je ne le sais pas, je suis juste satisfait de mon fait, mais encore loin d'être repus. Ainsi alanguie, rêveuse, tu penses que tout est fini, les yeux clos tu ne fais même plus attention à ton bandeau, plus attention aux bruits, mais ta peau reste en éveil. Presque assoupie, juste concentrée sur la fraicheur de l'air léger balayant ta peau, tu laisses mes mains revenir caresser tes cheveux, tes joues. Je dépose un baiser sur tes lèvres, et commence très lentement à explorer ta peau de baisers çà et là. Les sens encore embrouillés, tu as du mal à interpréter toutes tes impressions, mais peu à peu tu émerges et réalises que je dois être maintenant moi aussi entièrement nu, allongé à ton côté. Oui, c'est bien cela, je suis nu, je te caresse, je t'embrasse, et tu peux maintenant clairement sentir à la brûlure sur ton flanc que ces explorations m'excitent particulièrement. Tu ne prends pas d'initiative, mais cette fois-ci c'est ma main qui guide la tienne pour t'ordonner de te saisir de cet objet incandescent. Docile, tu t'exécutes, laissant même échapper un soupir de contentement en sentant toute l'ampleur de mon émoi. A nouveau je m'attarde sur cette poitrine enivrante. Tu tentes de lever la tête, cherchant ma langue qui ne vient pas. Elle est trop occupée autour de ton téton, alors que déjà ma main droite est revenue au contact de ton sexe encore inondé. Tes doigts se resserrent quand mon index retrouve sa cible et se met à tourner avec douce insistance autour de ton clitoris...
Tu me caresses, j'adore et tu l'entends à mon souffle, à tous les petits moments où tu sens que je perds mon attention dans mes caresses quand les tiennes deviennent trop intenses. Mais je ne veux pas perdre le contrôle, tu sens alors mon sexe se délivrer de ton emprise. Tu perds d'ailleurs encore le contact avec mon corps, seuls mes doigts sont encore sur ton sexe, dans ton sexe maintenant. Tu as déjà envie de jouir à nouveau, ta main veut guider la mienne, mais je reprends les commandes. Tu oscilles, tes reins dansent au rythme de mes doigts comme pour amplifier le mouvement, tu as envie de m'encourager à te faire jouir tout de suite, tu veux exploser à nouveau, tes sens s'embrouillent encore... Mais les doigts s'arrêtent, se retirent avec délicatesse, dérivent vers ton sein. Tu es prête à protester, mais tu te retiens, deux mains affairées sur tes seins arrivent à dévier ton attention, le plaisir est toujours là, et... oui, c'est bien cela, quelque chose est venu au contact de ton sexe si excité. Quelque chose de doux et dur, quelque chose que tu attends maintenant ardemment. Là encore, tu as envie de parler, de me dire de venir en toi, tu as envie de me sentir entrer en toi...
La pointe de mon pénis parcoure lentement les lèvres de ton sexe, juste au contact, montant et descendant cette chaleureuse perspective. Tu ne dis toujours rien mais pousse un gémissement très explicite. Tu ne peux le voir mais je souris. Une légère pression, mais pas encore, je reste encore un peu à caresser ton sexe de ma verge, tu te cambres, te dandines, tu as envie de m'attirer en toi. Je t'embrasse, tu es mordante, presque aussi agacée qu'excitée, tu m'en veux de te faire languir. Alors que nos langues se disputent violemment, j'entre enfin en toi, et je sens ta bouche s'ouvrir encore plus largement pour avaler la mienne. Mon sexe s'enfonce lentement, délicieusement, tout au plus profond de toi, pressant contre ton ventre pour te faire sentir toute sa longueur, toute l'étendue de mon désir. Je me dresse sur mes bras tendus, posés de part et d'autre de ta tête. Lâchement, tu en profites pour lancer tes bras agripper mes hanches, et cette fois-ci je ne peux t'en empêcher. Je n'en ai d'ailleurs aucune envie, maintenant mon envie est au fond de toi, et cette envie commence à se mouvoir lentement. Tes cuisses s'écartent largement, tu lèves tes pieds pour venir les presser contre mes reins. Encouragé, je commence à accélérer et amplifier mes mouvements. Mes yeux se ferment, je suis comme toi uniquement concentré sur mes sensations, sur les parois de ton sexe excitant le mien un peu plus à chaque va-et-vient. J'ai terriblement envie de jouir, tes doigts griffent ma peau, ma bouche plonge mordre ton cou...
Je me retiens avec grande difficulté, je suis au bord du gouffre. Tes gémissements, les mouvements de ton bassin, la pression de tes talons dans le bas de mon dos, tout m'excite terriblement, et tu arrives à sentir cette excitation, tu amplifies mes oscillations, tu veux me faire exploser en toi. Dans un léger grognement, je me retire, trop excité, mordant ton sein, puis son frère. Tes mains pressent encore mes côtés comme pour m'enjoindre à revenir en toi. Mon sexe est posé sur ton ventre alors que je reviens posséder ta langue, tu tentes de t'en saisir, mais mes mains te prennent avec autorité pour te retourner sur le ventre. Surprise, tu accueilles cependant ce retournement de situation avec un profond soupir d'envie, tes fesses se relevant déjà comme un appel d'urgence. Je dévore tes fesses, ma bouche, mes mains parcourent avidement ces formes si excitantes, qui ondulent doucement pour me supplier de les prendre. Ma bouche est sur tes reins et remonte ton échine jusqu'à cueillir ta bouche collée au ras du sol alors que tes reins se cambrent encore davantage. Ainsi penché sur toi, je me positionne enfin pour entrer en toi. Ton attente est telle que je pénètre directement au plus profond de tes entrailles.
Cette entrée un peu brusque t'arrache un râle. Tu pousses tes fesses en arrière, tu presses contre mon ventre pour m'accueillir le plus largement possible. Mes mains glissent de tes hanches vers tes seins, je commence à me retirer un peu, pour revenir d'un coup tout au fond, en serrant tes seins à les griffer. Ma main droite attrape tes cheveux, je vais et viens, doucement, lentement. Je ressors même un peu, rien que pour profiter à nouveau de cette délicieuse sensation de rentrer une nouvelle fois. Ta tête se rejette en arrière, tu sembles aimer cela. J'amplifie mes gestes, mes mains s'affolent partout autour de toi, je te prends à te soulever, plaquant tes fesses le plus fort possible contre mon ventre, je profite de tes bruits délectables. Un instant tu te redresses à bout de bras alors que je me plante encore complètement en toi, tu bouges doucement tes fesses dans un massage délicieux de mes testicules. Puis tu les laisses retomber, la tête plaquée au sol, les fesses encore soulevées vissées à mon sexe insatiable. Puis tout s'emballe, je perds contrôle, tes gémissements me droguent, j'accélère, accélère encore, je veux jouir, je veux que tu jouisses avec moi, je perçois encore tes cris mais je ne peux plus rien contrôler, je pars... L'explosion, non, en fait, les explosions. Des bruits un peu bestiaux, des secousses, des muscles qui se contractent à s'en déchirer. Des ongles qui s'incrustent dans la chair... La jouissance, brute, brutale, tu sens mon corps résonner en toi. Le brouillard arrive, envahit tout, nos corps s'effondrent, emmêlés, désorientés, juste... bien.
Mais soudain mes mains relâchent leurs prises, mes lèvres quittent les tiennes, tu ne sens plus la chaleur de mon torse. Un instant tu frissonnes, tu doutes, aurais-tu rêvé ? Puis tout d'un coup tu sens le tissu de ton haut s'écarter de tes hanches, puis s'envoler vers le haut, tu laisses tes bras se faire soulever par le mouvement, tu sens l'air plus frais envelopper ta peau, tes cheveux secoués par cette envolée de ta parure. Une légère lueur l'espace d'un instant, ton bandeau vacille, mais aussitôt des doigts s'empressent de le remettre bien en place: l'obscurité gagne à nouveau. Comme s'ils étaient partout, ces mêmes doigts qui étaient empressés dans tes cheveux sont déjà sur tes épaules, à faire glisser les bretelles de ton soutien-gorge. Des lèvres se posent sur l'épaule ainsi libérée. Alors que ce doux baiser se répète et se répète encore, ces doigts, décidément partout à la fois, dégrafent l'attache de ce soutien-gorge déjà superflu.
Ton bras se lève, ta main se pose dans mes cheveux accompagnée d'un léger murmure, mais, non, cette participation est aussitôt rejetée, et je t'impose aussitôt de reprendre ta pose, sage et impuissante.
La dentelle glisse, tes seins sont nus, tes tétons déjà en attente, impatients, si impatients. Encore une pause, un instant, est-il bref ? Tu ne le sais pas, tu le trouves si long, si interminable... Privée de contact, de sensation, tu te concentres sur ton ouïe: encore un bruissement de tissu, quelque chose tombe dans un bruit étouffé. Puis la chaleur qui monte à nouveau dans ton dos: de la peau, une peau chaude et enveloppante vient épouser ton dos, de longues ailes couvrent tes bras, mon souffle revient sur ta joue, tu frissonnes, tes tétons semblent appeler au secours. Des baisers encore: ta joue, ton cou, ton épaule, le long de ton bras droit. Concentrée sur ce parcours, tu es surprise quand des ongles viennent frôler ta hanche opposée. Ils grimpent ton côté, passent sur tes côtes, pas trop vite, arrivent sous le galbe de ton sein, dessinent avec envie ce délicieux arrondi, convergent vers ton aréole... Un long frisson encore, ma bouche est revenue dans ton cou, devenant plus mordante alors que mes doigts tournent autour d'un téton suppliant. La chaleur de ma main droite apparait sur ta cuisse au travers de ta dernière couverture. Déjà tu as envie de m'inviter à l'enlever au plus vite, mais ta bouche reste scellée, tu as compris que je veux mener la danse...
Tu gémis... Non plus un simple souffle approbateur, mais bien un vrai gémissement alors que mes doigts serrent ton téton, glissent de sa base vers sa pointe, retournent presser ton sein et répètent avec application cette manœuvre qui semble tant te plaire. Mes dents mordillent ton lobe, mon souffle te murmure des encouragements à te laisser aller. La chaleur... La chaleur sous mes doigts, non, pas ceux-là qui sont encore affairés autour de ton sein si sensible, mais les autres, plus bas, qui pressent à travers le tissu au creux de tes cuisses largement écartées. Cette délicieuse quête de chaleur, à tâtons, juste guidée par la montée de la température et par l'accélération de ton souffle à mesure que je semble converger à l'endroit le plus juste. Mon index mène l'expédition, appuyant juste ce qu'il faut pour pouvoir t'arracher un frisson et encore un léger bruit, comme un cri étouffé, suivi d'un soupir si long... Une lente transition, rien ne bouge ou presque, si ce n'est que tu sens mes deux mains abandonner leurs prises à l'unisson, et en parfait équilibre glisser chacune sur un côté, l'une grimpant, l'autre dévalant ta peau, pour simplement inverser leurs positions, que ton sein droit profite enfin des caresses qu'il réclame. En douceur, tout en douceur, je te caresse encore, inlassablement, patiemment. Tu as perdu ma bouche, tu ne sais plus où sont mes lèvres, tu ne sens plus mon souffle, mais mes doigts sont toujours là, pressant, appliqués, si doux...Un très bref instant, eux aussi disparaissent, mais avant même que tu n’aies eu le temps de t'en inquiéter, tu sens ma bouche mordre, juste là, à la jointure de ton cou et de ton épaule, tandis que mes deux mains viennent agripper très brusquement tes seins et les presser avec ardeur, les doigts plantés dans cette tendre chair, tes tétons serrés fortement entre mes phalanges, te plaquant contre mon torse, mes dents, ma langue passant d'un côté à l'autre de ton cou. Tu murmures quelque chose, presque inaudible: que tu aimes, que tu m'aimes ? Je ne suis pas sûr, quoi qu'il en soit j'en deviens encore plus mordant, pressant, ma main droite plongeant avec vigueur sur ton ventre, chercher l'accès sous le tissu plus bas. Sans aucune hésitation, mes doigts s’invitent directement dans ta culotte. Tes cuisses semblent s'écarter encore plus largement...
Tu te mords la lèvre pour contenir tes gémissements alors que mes doigts s'affairent autour de cette brûlante partie de ta personne. Tu sens mon buste se dérober... Un instant contractée, tu obtempères finalement quand ma main gauche, quittant à regret ton sein, entraine ta tête en arrière pour venir la reposer sur mon épaule plus loin derrière, te positionnant ainsi à moitié allongée, appuyée contre moi, les jambes désormais largement écartées. Mon index te pénètre, tout doucement, tandis que tes dents mordillent mes doigts qui te maintiennent encore ainsi basculée. J'explore avec délicatesse, me délectant de tes moindres réactions. Par moments je m'arrête, je t'observe, je t'écoute... Tu es tendue, vibrante, tu frissonnes à chaque fois que mes mouvements reprennent. Je te caresse, dehors, dedans, alternant la douceur et hardiesse, mon doigt s'enfonçant parfois le plus profondément possible. Mon majeur aussi se prend au jeu, venant presser un peu plus loin une autre zone fort sensible. Tu vibres plus fort encore, tu sembles proche de basculer, j'ai tellement envie que tu jouisses... Mais non, pas tout de suite, je me force à la patience. Lentement les doigts remontent de ton sexe si humide vers ton ventre oscillant de profondes respirations. Un long murmure s'échappe, est-ce un reproche ? Peu importe, je te guide encore. Mon épaule disparait, laissant juste une main derrière ta nuque alors que ton buste est entrainé en arrière. Je t'allonge complètement sur le sol. Tout s'évanouit à nouveau: plus aucune sensation, pas de bruit, pas de contact, tu ne sais plus où je suis. A travers le tissu du bandeau, il te semble juste percevoir des variations de luminosité, des ombres, je dois me déplacer dans la pièce, à pas de loup. Une main sur ton front, caressante, un baiser léger comme l'air sur tes lèvres. Encore le vide, inquiétant, excitant... Le tissu de ton pantalon descend soudain de tes hanches et s'échappe le long de tes jambes, nues maintenant. Sans intermède, ta culotte suit le mouvement. Entièrement, si parfaitement nue, allongée à même le sol, frais, tu as l'impression de sentir sur ta peau la brûlure de mon regard qui se repait de ce spectacle sans aucune retenue, glissant de ta délicieuse poitrine vers ton pubis entièrement dévoilé...
La brûlure se fait plus intense, plus réelle, c'est un souffle, mon souffle chaud qui parcoure ta peau. Mes lèvres se posent sur ton ventre, te déclenchant un léger spasme. Encore une fois, tu plaques tes mains dans mes cheveux, mais je te saisis aussitôt les poignets pour te les repositionner sagement le long de ton corps en fièvre. Tu grognes mais tu le laisses faire, te cambrant un peu plus comme pour supplier que ma bouche s'occupe de tes seins. Mais la brûlure disparait encore, mes lèvres se sont envolées, tu t'apprêtes à protester mais je coupe court à toute réclamation, plaquant ma main entre tes cuisses, pressante, empressée, tout de suite ambitieuse, invasive. Tu veux gémir mais ma bouche est sur la tienne, ma langue réquisitionne la tienne, qui obéit avec enthousiasme. Ma main gauche torture délicieusement ton sein droit, alors que mes doigts te font doucement monter vers la jouissance. Ta langue réjouie, je la libère et tu sens la morsure de mes dents sur ton téton gauche, puis le droit, puis à nouveau le gauche. Encore, encore, je mords, je suce, je lèche, je me régale. Tu gémis de plus en plus fort, tu me parles, tu m'encourages, tu me dis que tu vas jouir, et... tu ne mens pas, après un lent crescendo, tu laisses échapper un cri, un spasme, puis un autre, tu te cambres, ton téton s'incruste dans ma bouche quand ton corps se plie en arrière dans l'ultime plaisir. Tes cuisses se referment soudainement sur ma main. Encore de petites secousses de ta silhouette tremblante, encore de petits bruits, puis le profond relâchement, tu sembles fondre d'un coup, te souder au sol, tu n'es plus là...
Où es-tu partie d'ailleurs ? Je ne le sais pas, je suis juste satisfait de mon fait, mais encore loin d'être repus. Ainsi alanguie, rêveuse, tu penses que tout est fini, les yeux clos tu ne fais même plus attention à ton bandeau, plus attention aux bruits, mais ta peau reste en éveil. Presque assoupie, juste concentrée sur la fraicheur de l'air léger balayant ta peau, tu laisses mes mains revenir caresser tes cheveux, tes joues. Je dépose un baiser sur tes lèvres, et commence très lentement à explorer ta peau de baisers çà et là. Les sens encore embrouillés, tu as du mal à interpréter toutes tes impressions, mais peu à peu tu émerges et réalises que je dois être maintenant moi aussi entièrement nu, allongé à ton côté. Oui, c'est bien cela, je suis nu, je te caresse, je t'embrasse, et tu peux maintenant clairement sentir à la brûlure sur ton flanc que ces explorations m'excitent particulièrement. Tu ne prends pas d'initiative, mais cette fois-ci c'est ma main qui guide la tienne pour t'ordonner de te saisir de cet objet incandescent. Docile, tu t'exécutes, laissant même échapper un soupir de contentement en sentant toute l'ampleur de mon émoi. A nouveau je m'attarde sur cette poitrine enivrante. Tu tentes de lever la tête, cherchant ma langue qui ne vient pas. Elle est trop occupée autour de ton téton, alors que déjà ma main droite est revenue au contact de ton sexe encore inondé. Tes doigts se resserrent quand mon index retrouve sa cible et se met à tourner avec douce insistance autour de ton clitoris...
Tu me caresses, j'adore et tu l'entends à mon souffle, à tous les petits moments où tu sens que je perds mon attention dans mes caresses quand les tiennes deviennent trop intenses. Mais je ne veux pas perdre le contrôle, tu sens alors mon sexe se délivrer de ton emprise. Tu perds d'ailleurs encore le contact avec mon corps, seuls mes doigts sont encore sur ton sexe, dans ton sexe maintenant. Tu as déjà envie de jouir à nouveau, ta main veut guider la mienne, mais je reprends les commandes. Tu oscilles, tes reins dansent au rythme de mes doigts comme pour amplifier le mouvement, tu as envie de m'encourager à te faire jouir tout de suite, tu veux exploser à nouveau, tes sens s'embrouillent encore... Mais les doigts s'arrêtent, se retirent avec délicatesse, dérivent vers ton sein. Tu es prête à protester, mais tu te retiens, deux mains affairées sur tes seins arrivent à dévier ton attention, le plaisir est toujours là, et... oui, c'est bien cela, quelque chose est venu au contact de ton sexe si excité. Quelque chose de doux et dur, quelque chose que tu attends maintenant ardemment. Là encore, tu as envie de parler, de me dire de venir en toi, tu as envie de me sentir entrer en toi...
La pointe de mon pénis parcoure lentement les lèvres de ton sexe, juste au contact, montant et descendant cette chaleureuse perspective. Tu ne dis toujours rien mais pousse un gémissement très explicite. Tu ne peux le voir mais je souris. Une légère pression, mais pas encore, je reste encore un peu à caresser ton sexe de ma verge, tu te cambres, te dandines, tu as envie de m'attirer en toi. Je t'embrasse, tu es mordante, presque aussi agacée qu'excitée, tu m'en veux de te faire languir. Alors que nos langues se disputent violemment, j'entre enfin en toi, et je sens ta bouche s'ouvrir encore plus largement pour avaler la mienne. Mon sexe s'enfonce lentement, délicieusement, tout au plus profond de toi, pressant contre ton ventre pour te faire sentir toute sa longueur, toute l'étendue de mon désir. Je me dresse sur mes bras tendus, posés de part et d'autre de ta tête. Lâchement, tu en profites pour lancer tes bras agripper mes hanches, et cette fois-ci je ne peux t'en empêcher. Je n'en ai d'ailleurs aucune envie, maintenant mon envie est au fond de toi, et cette envie commence à se mouvoir lentement. Tes cuisses s'écartent largement, tu lèves tes pieds pour venir les presser contre mes reins. Encouragé, je commence à accélérer et amplifier mes mouvements. Mes yeux se ferment, je suis comme toi uniquement concentré sur mes sensations, sur les parois de ton sexe excitant le mien un peu plus à chaque va-et-vient. J'ai terriblement envie de jouir, tes doigts griffent ma peau, ma bouche plonge mordre ton cou...
Je me retiens avec grande difficulté, je suis au bord du gouffre. Tes gémissements, les mouvements de ton bassin, la pression de tes talons dans le bas de mon dos, tout m'excite terriblement, et tu arrives à sentir cette excitation, tu amplifies mes oscillations, tu veux me faire exploser en toi. Dans un léger grognement, je me retire, trop excité, mordant ton sein, puis son frère. Tes mains pressent encore mes côtés comme pour m'enjoindre à revenir en toi. Mon sexe est posé sur ton ventre alors que je reviens posséder ta langue, tu tentes de t'en saisir, mais mes mains te prennent avec autorité pour te retourner sur le ventre. Surprise, tu accueilles cependant ce retournement de situation avec un profond soupir d'envie, tes fesses se relevant déjà comme un appel d'urgence. Je dévore tes fesses, ma bouche, mes mains parcourent avidement ces formes si excitantes, qui ondulent doucement pour me supplier de les prendre. Ma bouche est sur tes reins et remonte ton échine jusqu'à cueillir ta bouche collée au ras du sol alors que tes reins se cambrent encore davantage. Ainsi penché sur toi, je me positionne enfin pour entrer en toi. Ton attente est telle que je pénètre directement au plus profond de tes entrailles.
Cette entrée un peu brusque t'arrache un râle. Tu pousses tes fesses en arrière, tu presses contre mon ventre pour m'accueillir le plus largement possible. Mes mains glissent de tes hanches vers tes seins, je commence à me retirer un peu, pour revenir d'un coup tout au fond, en serrant tes seins à les griffer. Ma main droite attrape tes cheveux, je vais et viens, doucement, lentement. Je ressors même un peu, rien que pour profiter à nouveau de cette délicieuse sensation de rentrer une nouvelle fois. Ta tête se rejette en arrière, tu sembles aimer cela. J'amplifie mes gestes, mes mains s'affolent partout autour de toi, je te prends à te soulever, plaquant tes fesses le plus fort possible contre mon ventre, je profite de tes bruits délectables. Un instant tu te redresses à bout de bras alors que je me plante encore complètement en toi, tu bouges doucement tes fesses dans un massage délicieux de mes testicules. Puis tu les laisses retomber, la tête plaquée au sol, les fesses encore soulevées vissées à mon sexe insatiable. Puis tout s'emballe, je perds contrôle, tes gémissements me droguent, j'accélère, accélère encore, je veux jouir, je veux que tu jouisses avec moi, je perçois encore tes cris mais je ne peux plus rien contrôler, je pars... L'explosion, non, en fait, les explosions. Des bruits un peu bestiaux, des secousses, des muscles qui se contractent à s'en déchirer. Des ongles qui s'incrustent dans la chair... La jouissance, brute, brutale, tu sens mon corps résonner en toi. Le brouillard arrive, envahit tout, nos corps s'effondrent, emmêlés, désorientés, juste... bien.
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Re: Yorga
Tes écrits ont le don de me réchauffer
Christel22- Messages : 17660
Date d'inscription : 23/11/2020
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Re: Yorga
Très jolie texte
Merci pour ce bon moment
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TiT64200- Messages : 194
Date d'inscription : 07/04/2021
Re: Yorga
toujours un régal de te lire NSD et cela provoque toujours son petit effet
Décidément après m'avoir donné envie d'aller à la plage j'ai envie de faire du yoga maintenant c'est malin
Cela me fait penser un peu aux livres de Martine(mais en plus intéressant )
alors après "NSD à la plage" et "NSD au yoga" quelle sera la prochaine aventure?
Décidément après m'avoir donné envie d'aller à la plage j'ai envie de faire du yoga maintenant c'est malin
Cela me fait penser un peu aux livres de Martine(mais en plus intéressant )
alors après "NSD à la plage" et "NSD au yoga" quelle sera la prochaine aventure?
roro56- Messages : 5498
Date d'inscription : 20/02/2021
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Localisation : bretagne
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Re: Yorga
J'ai bien la troisième en tête !roro56 a écrit:toujours un régal de te lire NSD et cela provoque toujours son petit effet
Décidément après m'avoir donné envie d'aller à la plage j'ai envie de faire du yoga maintenant c'est malin
Cela me fait penser un peu aux livres de Martine(mais en plus intéressant )
alors après "NSD à la plage" et "NSD au yoga" quelle sera la prochaine aventure?
Christel22- Messages : 17660
Date d'inscription : 23/11/2020
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Localisation : Bretagne
Re: Yorga
ah intéressant on peut avoir un petit spoiler sur cette prochaine aventure?Christel22 a écrit:J'ai bien la troisième en tête !roro56 a écrit:toujours un régal de te lire NSD et cela provoque toujours son petit effet
Décidément après m'avoir donné envie d'aller à la plage j'ai envie de faire du yoga maintenant c'est malin
Cela me fait penser un peu aux livres de Martine(mais en plus intéressant )
alors après "NSD à la plage" et "NSD au yoga" quelle sera la prochaine aventure?
roro56- Messages : 5498
Date d'inscription : 20/02/2021
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Re: Yorga
Ah non, moi je me tais mais ce que je peux dire c'est que celle à laquelle je pense, est ma préféréeroro56 a écrit:
ah intéressant on peut avoir un petit spoiler sur cette prochaine aventure?
Christel22- Messages : 17660
Date d'inscription : 23/11/2020
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Re: Yorga
Bon et bien cela me donne encore plus envie de lire cette aventure c'est malinChristel22 a écrit:Ah non, moi je me tais mais ce que je peux dire c'est que celle à laquelle je pense, est ma préféréeroro56 a écrit:
ah intéressant on peut avoir un petit spoiler sur cette prochaine aventure?
roro56- Messages : 5498
Date d'inscription : 20/02/2021
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roro56- Messages : 5498
Date d'inscription : 20/02/2021
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Re: Yorga
Oulà, ça fait monter le buzz !
Ok, dès que j'ai les 3millions de vues, je publie un nouveau texte
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Invité- Invité
Re: Yorga
quand on repasse et repasse et repasse ça compte? repasse sur le post pas sur la chemise Dark, tu préfèreras certainement davantage que d'autres te frottent la manchenot-so-dark a écrit:Oulà, ça fait monter le buzz !
Ok, dès que j'ai les 3millions de vues, je publie un nouveau texte
Lucky- Messages : 15409
Date d'inscription : 13/12/2020
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Re: Yorga
Deuxième aventure que je lis et comment dire.
Tu echauffes tous nos sens, c'est comme si on y était et parfois je me suis dit "mais il va y aller oui ?"
Très très joli texte et qui m'a bien fait travailler mon imaginaire, les jambes croisées bien evidemment.
Merci pour ton partage
p.S: tu y es arrivé aux 3 millions ?? j'attends une suite moi aussi
Tu echauffes tous nos sens, c'est comme si on y était et parfois je me suis dit "mais il va y aller oui ?"
Très très joli texte et qui m'a bien fait travailler mon imaginaire, les jambes croisées bien evidemment.
Merci pour ton partage
p.S: tu y es arrivé aux 3 millions ?? j'attends une suite moi aussi
Invité- Invité
Re: Yorga
Ezia a écrit:Deuxième aventure que je lis et comment dire.
Tu echauffes tous nos sens, c'est comme si on y était et parfois je me suis dit "mais il va y aller oui ?"
Très très joli texte et qui m'a bien fait travailler mon imaginaire, les jambes croisées bien evidemment.
Merci pour ton partage
p.S: tu y es arrivé aux 3 millions ?? j'attends une suite moi aussi
Merci pour ce gentil message
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