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Sur le sable abandonnée...
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Lucky
roro56
choc'o pom
Christel22
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Sur le sable abandonnée...
Fin septembre, l’été indien. Oui, malgré ce qu’en disait Joe Dassin, cette fameuse intersaison n’existe plus seulement dans le nord de l’Amérique. Décidant d’oublier un instant les affres déprimantes du réchauffement climatique qui conduit le thermomètre à flirter avec les trente degrés à cette période de l’année, tu vas pour une fois en profiter. Ton homme parti avec les enfants, tu ne veux pas rester enfermée par un temps aussi splendide, et d’un trait de voiture te voici bientôt sur la côte sauvage. Bonheur de cette période décalée, pas âme qui vive, pas une voiture, pas un cycliste, juste la nature brute baignée de soleil brûlant. Tu jettes ton dévolu au hasard sur un petit parking sous les arbres, désert et ombragé. Juste une serviette sur l’épaule et un frugal pique-nique à la main, tu t’enfonces dans la forêt en direction de la mer. Pas de plan, pas de planning, pas de contraintes, juste marcher vers l’ouest à travers cette magnifique végétation, et on verra bien…
Après trente minutes environ d’une agréable promenade, un enchevêtrement de dunes et de rochers apparait. La mer se fait entendre, mais tu ne peux encore l’admirer, tu cherches un accès qui se fait désirer un long moment. Trouvant enfin la faille dans la barre rocheuse, tu t’y engouffre avec l’entrain d’une petite fille. Elle est là, face à toi, la grande bleue resplendissante, inondée d’une lumière aveuglante. Balayant du regard, tu découvres que tu es arrivée dans une minuscule crique, une petite bande de sable doré au milieu des rochers. Ici aussi tout est désert, tu te croirais naufragée au milieu de l’océan. Ravie de cette trouvaille, tu étends ta serviette et t’installe, royale, seule au beau milieu de ce paradis miniature. Allongée là, tu grignotes ton casse-croute en regardant les vagues se dérouler lentement jusqu’à quelques encablures de tes orteils. Ainsi immobile sous l’astre brillant, tu décides vite d’ôter tes vêtements pour rester juste en maillot de bain.
Les rayons cuisent ta peau alors que tu es complètement étendue, les yeux fermés pour digérer tranquillement ce timide festin. Mais cela est trop tentant, tu ne veux pas attendre, et tu te relèves bien vite pour aller pointer un orteil hésitant vers l’eau translucide. Elle est fraiche, certes, mais juste ce qu’il faut pour te donner l’envie d’aller plus loin. Tu marches lentement, sentant petit à petit la fraicheur monter le long de tes jambes, bien vite au ras de tes fesses. Tes mains caressent la surface de l’eau, trempent machinalement ta nuque, ton front, puis sans plus réfléchir, tu plonges. La gifle glacée qui parcoure tout ton corps est délicieuse, tu glisses avec délectation dans cette eau revigorante. Quelques brasses et apnées plus tard, tu ressors de ce divin élément, souriant à la nature vierge qui t’entoure toujours avec bienveillance.
Tu retournes à ta serviette qui t’attend sagement, mais tu ne prends même pas le temps de te sécher, le soleil est si fort que tu laisses l’eau ruisseler sur toi. Tu sècheras bien assez vite. Et puis… ton maillot peut bien sécher sans toi… Sans pouvoir t’empêcher de scruter à la ronde, tu enlèves ton haut et le pose sur le rocher tout proche. A peine quelques secondes plus tard, juste le temps d’une hésitation de principe, ta culotte suit. Te voici complètement nue, parfaite Eve dans un Eden brûlant. Tu t’allonges les yeux clos, ne pouvant te retenir de sourire en te sentant ainsi sans aucun voile, le soleil chanceux pouvant embrasser chaque parcelle de ta peau pour y traquer les perles d’eaux qui la parcourent. A mesure que tu sèches, tu sens la légère piqûre du sel, et tes mains frottent doucement ton épiderme à mesure que ces démangeaisons apparaissent. Lascive, presque rêveuse, tes mains ne s’arrêtent plus de parcourir ta peau, et commencent à cherche les zones les plus sensibles.
A l’unisson, elles parcourent l’extérieur de tes cuisses, glissent sur tes hanches, remontent tes côtes jusqu’à dessiner le contour de tes seins. Sans t’en apercevoir, les yeux toujours fermés, tu souries. Tes doigts restent un long moment à ainsi caresser le pourtour de tes seins, mais tes tétons en demandent plus et deviennent l’objet de ton attention. A qui, à quoi penses-tu ? Mystère…
Mais tes lèvres se plissent, ta langue se glisse entre elles, tes reins se cambrent, ton plaisir augmente bien vite. Il faut se rendre à l’évidence : tes mains doivent désormais se séparer, l’une remontant un instant sur ta gorge, mais pour revenir bien vite vers ta poitrine. L’autre descend consciencieusement ton torse, se plaquant sur ton ventre pour venir épouser ton pubis déjà brûlant (le soleil sans doute…). Le grand avantage du plaisir solitaire : tes doigts savent exactement quoi faire, où aller, à quel rythme, quelle pression appliquer. Tout est automatique, chaque parcelle de ton être qui requière une caresse est aussitôt servie avec le parfait dosage de douceur et de vivacité. Malgré cela, un éclair d’inquiétude surgit en toi, et tes yeux s’ouvrent pour balayer l’horizon : toujours un parfait paradis de Robinson totalement désert. Point besoin de plus d’assurance, tu te reconcentres aussitôt sur cette délicieuse activité de plaisir égoïste.
Une pensée presque inconsciente : « je suis vraiment douée… », et à peine une minute plus tard, l’orgasme. As-tu crié ? TU n’en es pas vraiment sure, mais tu crois bien que oui, sans doute même fort, peut-être même très fort. Oui, elles sont douées, ces mains, l’une encore plaquée sur ton entrejambe inondée, l’autre fouillant dans les mèches de ton front. Relâchée, tu sens de la sueur ruisseler un peu partout sur ta peau, sensation rafraichissante vite effacée par les rayons toujours accablants de l’astre solaire.
Tu hésites. Tu es tellement décontractée que tu te laisserais bien glisser dans le doux refuge d’une petite sieste bien méritée, mais la chaleur combinée au bruit des vagues t’appelle à retourner à l’eau. Au prix d’un effort presque héroïque tu mobilises tes muscles pour transférer ta silhouette toujours parfaitement nue de la canicule à la fraicheur des ondes. Tu te laisses inonder par ces eaux t’enveloppant d’un froid manteau, plongeant au plus profond, vidant lentement tes poumons pour rester immergée le plus longtemps possible, sans mouvement, juste ballotée par les flots. Tu répètes plusieurs fois ces longues apnées jusqu’au signal des premiers frissons : il est temps de t’offrir à nouveau au dieu Ra.
Mais alors que tes yeux étaient perdus vers l’horizon infini tout en nuances de bleu, tu fais demi-tour vers ton paradis sableux. Quelque chose t’intrigue : n’y aurait-il pas eu un mouvement, là, dans les rochers entourant ton refuge ? Tu t’arrêtes de nager, immergée jusqu’au cou. Oui, il y a bien quelque chose qui bouge. Un animal ? Non, c’est une silhouette humaine qui se dessine maintenant. Une longue et haute silhouette : un homme de grande stature approche. Tu restes stationnée dans ton voile d’eau, il ne t’a sans doute pas vu, c’est juste un promeneur. Effectivement, l’homme en question sort des rochers et commence à longer la petite plage en flânant manifestement, le regard pour l’instant tourné côté forêt. Quelque chose semble l’intriguer à son tour, lui aussi vient de s’immobiliser, seulement à une quinzaine de mètres de ton humide cachette. Oh, non, il a vu ta serviette !
Immanquablement, il se tourne, et ses yeux se braquent presqu’aussitôt sur toi. « Mon dieu, je dois être toute rouge » penses-tu. Et tu l’es, c’est certain. « Oh, bonjour, elle est bonne ? » lance-t-il avec un grand sourire. Il s’approche un peu du bord de l’eau dans l’attente d’une réponse. Prise au dépourvu, tu lances juste un timide « Oui, oui, très bonne ». Pourtant tu sens que tu commences vraiment à avoir froid, mais tu ne peux pas sortir ainsi en tenue d’Eve devant un parfait inconnu. Mais au moins ton inquiétude s’amoindrit, l’homme est charmant, pas vraiment beau, mais avec quelque chose de séduisant. Manifestement il doit aussi te trouver séduisante, car il poursuit un peu maladroitement la conversation. Quelque chose te touche, son regard peut-être, ou sa voix. Un étrange mélange, il semble à la fois timide mais charmeur en même temps. Mince, un charmeur timide, te voilà bien, tu sais que cela te fait fondre, pour peu que le courant passe. Tu réponds poliment et prudemment, et malgré le froid qui commence à t’incommoder, tu te surprends à sourire, et même rire. Mince, mince, mince et re-mince, il est craquant quand il sourit. Mais tu ne vas quand même pas sortir nue et lui sauter dessus ! Toi aussi tu es timide et même si sa présence te plait, elle te gêne aussi beaucoup. Tout en poursuivant le dialogue, tu cherches le moyen de t’en sortir.
Sans inspiration, tu finis par dire « je m’excuse mais je commence à avoir froid dans l’eau, et, euh… je n’ai pas de maillot… ». Tu sens bien que tu es écarlate et malgré le froid qui te fait grelotter tu aurais envie de disparaitre sous l’eau. « Non mais ce n’est pas vrai !» penses-tu en constatant qu’à son tour il rougit ! « Oh, je suis vraiment désolé… je suis… euh… je ne voulais pas vous déranger… pardon… bien sûr, je m’en vais… Merci pour cette conversation… Bonne journée… ». Troublé, il a détourné les yeux des tiens et s’apprête manifestement à tourner les talons.
L’instant, cet instant. Tu sais, l’un de ces innombrables instants que l’on ressasse sans cesse, que l’on se repasse comme un vieil enregistrement usé. Tous ces moments clés où l’on se dit « j’aurais dû » ou « je n’aurais pas dû ». Ces instants que l’on a loupés ou que l’on aimerait rejouer ou au contraire effacer. Ces croisements où l’on ne sait pas si l’on a bien fait de tourner à gauche plutôt qu’à droite, si l’on aurait dû s’arrêter ou faire demi-tour. Ces occasions tellement furtives que l’on n’a pas su saisir. Voilà, tu en as là, juste là, à cet instant qu’il faut attraper au vol en une fraction de seconde ou peut-être laisser filer quitte à le regretter toute sa vie. Pas le temps de penser à ton homme, à la fidélité, aux conventions, même pas le temps de te demander si tu lui plais vraiment et si quelque chose va ou simplement doit se passer. Gauche ou droite ? C’est maintenant, il faut tourner, le mur approche, le timide charmeur charmant va partir.
Tu as l’impression que ta gorge est bloquée. « Non ! ». A ta grande surprise, ce non vient de sortir de ta bouche comme par sa propre volonté. Un non bien plus fort et aigu que tu ne l’aurais souhaité. Mais il est sorti, tu as donné le coup de volant, maintenant tu es lancée : « Non, non, si vous pouvez juste m’approcher ma serviette et détourner le regard le temps que je m’enveloppe dedans, nous pourrons continuer de discuter » poursuis-tu un brin chevrotante. Oh, punaise, le sourire qui accueille ta phrase stoppe net tes grelottements et tu rougis à nouveau comme si toute l’eau s’était retirée d’un coup. « Ah, bien sûr, avec grand plaisir, j’y vais !». Il s’exécute en petites foulées pour ne pas te faire attendre et s’avance même jusqu’à mi-mollets dans l’eau, tendant la grande serviette déployée à bouts de bras, la tête ostensiblement tournée le plus possible à s’en démettre une cervicale.
Telle Vénus sortie des eaux, tu avances alors, découvrant vite l’intégralité de ta nudité, ruisselante et parcourue de frissons. Tes tétons sont durs comme de la roche, est-ce le froid ou autre chose ? Tu t’avances lentement vers lui, cambrée, les seins brandis comme des armes. Tu as envie de jeter la serviette et de te coller à lui, ton ventre en est noué. Mais tu ne sais pas faire ça, c’est trop extrême, peut-être est-il seulement charmant et a-t-il juste envie de compagnie ? Ta poitrine entre la première en contact avec le drap de bain tendu entre ses bras immenses. Tu hésites encore une seconde, puis t’enroule sagement dans l’accueillant tissu, mais en prenant quand même soin de l’ajuster au mieux pour te mettre en valeur le plus possible avant d’autoriser ton inconnu à tourner la tête. Ainsi ajustée, tu lisses et regroupes tes cheveux avant de lancer « c’est bon, je suis descente maintenant, ne risquez pas un torticolis plus longtemps… ».
Il est si grand et tu es si proche que tu dois lever les yeux pour attraper son regard alors qu’il retourne sa tête vers toi. Son regard est brillant, mais son sourire encore plus timide, tu te demandes si lui aussi n’est pas en train d’hésiter à se jeter sur toi. Ou peut-être est-ce juste ce que tu voudrais qu’il pense. Plus de doute, le virage est pris, tu ne veux pas l’avoir pris pour rien…
La haute stature s’efface gracieusement pour te laisser le passage à son côté vers le sable sec. Quelques pas côte-à-côte dans le clapotis des eaux, et sa voix reprend peu à peu son flot enjôleur. Ses mots te caressent, même s’il parle de tout et de rien tu ne peux t’empêcher de boire ses paroles. Tu ne sens plus la chaleur du soleil tellement tes entrailles brûlent déjà d’un feu bien plus vif encore. Tu ris bien trop facilement, tu le sais, et tu as peur qu’il le remarque. Quoi que non, tu aimerais qu’il le remarque, ces préliminaires verbaux sont délicieux mais tu crèves d’envie de brûler les étapes, d’être enfin sure qu’il va bien laisser sa langue faire d’autres choses plus agréables encore…
Arrivés sur le sable sec, il te fait face. « Mon Dieu, qu’il est grand ! » penses-tu, et aussitôt tu ne peux empêcher ton esprit de dériver… « Tout est aussi grand ? ». Mince, tes yeux ont suivi ta pensée, ton regard a plongé vers son entrejambe, l’a-t-il remarqué ? Te sentant devenir écarlate, tu fais volte-face pour aller t’assoir à quelques mètres sur un petit rocher. « Vous êtes trop grand, vous me donnez le vertige » lâches-tu comme une diversion. Il rit. Ce rire est chaud. Ce rire te donne chaud. Il s’assoit à son tour directement dans le sable et reprend ses douces paroles, ses questions de plus en plus intimes auxquelles tu ne peux t’empêcher de répondre tellement il semble s’intéresser à toi. Il caresse le sable tout en parlant et tu voudrais déjà que ce soit le grain de ta peau qu’il effleure ainsi. Ses yeux cherchent les tiens, mais tu les détournes sans arrêt, encore sujette à une lutte intérieure entre ta volonté que tout explose en une étreinte torride et les doutes qui te restent sur ses réelles intentions.
Le temps s’étire, tu brûles de plus en plus, son verbe fait mouche et des compliments se succèdent, de moins en moins masqués. Tu ne veux plus attendre, tu veux savoir, et sans rien laisser paraître, assise en chien de faïence, tu écartes peu à peu les cuisses dans son axe, la serviette s’entrouvre. Il te semble voir passer un éclair dans son regard. Encore un peu et là tu es maintenant certaine que la serviette ne doit plus rien cacher de ton intimité. Un blanc. Oui, un blanc dans son discours pourtant si fluide. Un blanc puis un raclement de gorge. Serait-il gêné ? Cette fois c’est ton regard qui cherche le sien, mais il esquive, tourne la tête. Heureusement, avant même que tu n’aies eu le temps de t’en inquiéter, ses yeux reviennent vers toi, mais avant de rejoindre les tiens, tu notes qu’ils attaquent ta silhouette bien plus bas. Ses rétines étincellent et tu les accueilles d’un sourire entendu.
Il est muet désormais, mais tu ne bouges pas, le fixant toujours de tes beaux yeux. Enfin, il se lève, étirant son ombre immense jusqu’à tes pieds. Un pas, puis un autre, il avance lentement vers toi, les pupilles aimantées aux tiennes. L’envie d’observer à nouveau l’état de son bas-ventre te tenaille mais tu ne veux pas lâcher son regard, même si cela t’oblige à plier la nuque pour suivre l’immense stature de ton assaillant précautionneux. Le soleil a disparu derrière son écran, alors qu’il s’arrête là, juste devant toi, te surplombant de toute sa hauteur. Il entrouvre la bouche comme s’il allait reprendre son flot enivrant, mais rien ne sort. Il s’agenouille alors dans le sable à tes pieds. Tu penches la tête sur le côté, le sourire aux lèvres, prenant un air faussement ingénu et resserrant les cuisses. Sa main vient se poser sur la tienne. Là encore, ton haussement de sourcils feint la surprise alors qu’intérieurement tu exultes, sentant même déjà l’intérieur de tes cuisses s’emplir d’une moiteur tropicale.
Après trente minutes environ d’une agréable promenade, un enchevêtrement de dunes et de rochers apparait. La mer se fait entendre, mais tu ne peux encore l’admirer, tu cherches un accès qui se fait désirer un long moment. Trouvant enfin la faille dans la barre rocheuse, tu t’y engouffre avec l’entrain d’une petite fille. Elle est là, face à toi, la grande bleue resplendissante, inondée d’une lumière aveuglante. Balayant du regard, tu découvres que tu es arrivée dans une minuscule crique, une petite bande de sable doré au milieu des rochers. Ici aussi tout est désert, tu te croirais naufragée au milieu de l’océan. Ravie de cette trouvaille, tu étends ta serviette et t’installe, royale, seule au beau milieu de ce paradis miniature. Allongée là, tu grignotes ton casse-croute en regardant les vagues se dérouler lentement jusqu’à quelques encablures de tes orteils. Ainsi immobile sous l’astre brillant, tu décides vite d’ôter tes vêtements pour rester juste en maillot de bain.
Les rayons cuisent ta peau alors que tu es complètement étendue, les yeux fermés pour digérer tranquillement ce timide festin. Mais cela est trop tentant, tu ne veux pas attendre, et tu te relèves bien vite pour aller pointer un orteil hésitant vers l’eau translucide. Elle est fraiche, certes, mais juste ce qu’il faut pour te donner l’envie d’aller plus loin. Tu marches lentement, sentant petit à petit la fraicheur monter le long de tes jambes, bien vite au ras de tes fesses. Tes mains caressent la surface de l’eau, trempent machinalement ta nuque, ton front, puis sans plus réfléchir, tu plonges. La gifle glacée qui parcoure tout ton corps est délicieuse, tu glisses avec délectation dans cette eau revigorante. Quelques brasses et apnées plus tard, tu ressors de ce divin élément, souriant à la nature vierge qui t’entoure toujours avec bienveillance.
Tu retournes à ta serviette qui t’attend sagement, mais tu ne prends même pas le temps de te sécher, le soleil est si fort que tu laisses l’eau ruisseler sur toi. Tu sècheras bien assez vite. Et puis… ton maillot peut bien sécher sans toi… Sans pouvoir t’empêcher de scruter à la ronde, tu enlèves ton haut et le pose sur le rocher tout proche. A peine quelques secondes plus tard, juste le temps d’une hésitation de principe, ta culotte suit. Te voici complètement nue, parfaite Eve dans un Eden brûlant. Tu t’allonges les yeux clos, ne pouvant te retenir de sourire en te sentant ainsi sans aucun voile, le soleil chanceux pouvant embrasser chaque parcelle de ta peau pour y traquer les perles d’eaux qui la parcourent. A mesure que tu sèches, tu sens la légère piqûre du sel, et tes mains frottent doucement ton épiderme à mesure que ces démangeaisons apparaissent. Lascive, presque rêveuse, tes mains ne s’arrêtent plus de parcourir ta peau, et commencent à cherche les zones les plus sensibles.
A l’unisson, elles parcourent l’extérieur de tes cuisses, glissent sur tes hanches, remontent tes côtes jusqu’à dessiner le contour de tes seins. Sans t’en apercevoir, les yeux toujours fermés, tu souries. Tes doigts restent un long moment à ainsi caresser le pourtour de tes seins, mais tes tétons en demandent plus et deviennent l’objet de ton attention. A qui, à quoi penses-tu ? Mystère…
Mais tes lèvres se plissent, ta langue se glisse entre elles, tes reins se cambrent, ton plaisir augmente bien vite. Il faut se rendre à l’évidence : tes mains doivent désormais se séparer, l’une remontant un instant sur ta gorge, mais pour revenir bien vite vers ta poitrine. L’autre descend consciencieusement ton torse, se plaquant sur ton ventre pour venir épouser ton pubis déjà brûlant (le soleil sans doute…). Le grand avantage du plaisir solitaire : tes doigts savent exactement quoi faire, où aller, à quel rythme, quelle pression appliquer. Tout est automatique, chaque parcelle de ton être qui requière une caresse est aussitôt servie avec le parfait dosage de douceur et de vivacité. Malgré cela, un éclair d’inquiétude surgit en toi, et tes yeux s’ouvrent pour balayer l’horizon : toujours un parfait paradis de Robinson totalement désert. Point besoin de plus d’assurance, tu te reconcentres aussitôt sur cette délicieuse activité de plaisir égoïste.
Une pensée presque inconsciente : « je suis vraiment douée… », et à peine une minute plus tard, l’orgasme. As-tu crié ? TU n’en es pas vraiment sure, mais tu crois bien que oui, sans doute même fort, peut-être même très fort. Oui, elles sont douées, ces mains, l’une encore plaquée sur ton entrejambe inondée, l’autre fouillant dans les mèches de ton front. Relâchée, tu sens de la sueur ruisseler un peu partout sur ta peau, sensation rafraichissante vite effacée par les rayons toujours accablants de l’astre solaire.
Tu hésites. Tu es tellement décontractée que tu te laisserais bien glisser dans le doux refuge d’une petite sieste bien méritée, mais la chaleur combinée au bruit des vagues t’appelle à retourner à l’eau. Au prix d’un effort presque héroïque tu mobilises tes muscles pour transférer ta silhouette toujours parfaitement nue de la canicule à la fraicheur des ondes. Tu te laisses inonder par ces eaux t’enveloppant d’un froid manteau, plongeant au plus profond, vidant lentement tes poumons pour rester immergée le plus longtemps possible, sans mouvement, juste ballotée par les flots. Tu répètes plusieurs fois ces longues apnées jusqu’au signal des premiers frissons : il est temps de t’offrir à nouveau au dieu Ra.
Mais alors que tes yeux étaient perdus vers l’horizon infini tout en nuances de bleu, tu fais demi-tour vers ton paradis sableux. Quelque chose t’intrigue : n’y aurait-il pas eu un mouvement, là, dans les rochers entourant ton refuge ? Tu t’arrêtes de nager, immergée jusqu’au cou. Oui, il y a bien quelque chose qui bouge. Un animal ? Non, c’est une silhouette humaine qui se dessine maintenant. Une longue et haute silhouette : un homme de grande stature approche. Tu restes stationnée dans ton voile d’eau, il ne t’a sans doute pas vu, c’est juste un promeneur. Effectivement, l’homme en question sort des rochers et commence à longer la petite plage en flânant manifestement, le regard pour l’instant tourné côté forêt. Quelque chose semble l’intriguer à son tour, lui aussi vient de s’immobiliser, seulement à une quinzaine de mètres de ton humide cachette. Oh, non, il a vu ta serviette !
Immanquablement, il se tourne, et ses yeux se braquent presqu’aussitôt sur toi. « Mon dieu, je dois être toute rouge » penses-tu. Et tu l’es, c’est certain. « Oh, bonjour, elle est bonne ? » lance-t-il avec un grand sourire. Il s’approche un peu du bord de l’eau dans l’attente d’une réponse. Prise au dépourvu, tu lances juste un timide « Oui, oui, très bonne ». Pourtant tu sens que tu commences vraiment à avoir froid, mais tu ne peux pas sortir ainsi en tenue d’Eve devant un parfait inconnu. Mais au moins ton inquiétude s’amoindrit, l’homme est charmant, pas vraiment beau, mais avec quelque chose de séduisant. Manifestement il doit aussi te trouver séduisante, car il poursuit un peu maladroitement la conversation. Quelque chose te touche, son regard peut-être, ou sa voix. Un étrange mélange, il semble à la fois timide mais charmeur en même temps. Mince, un charmeur timide, te voilà bien, tu sais que cela te fait fondre, pour peu que le courant passe. Tu réponds poliment et prudemment, et malgré le froid qui commence à t’incommoder, tu te surprends à sourire, et même rire. Mince, mince, mince et re-mince, il est craquant quand il sourit. Mais tu ne vas quand même pas sortir nue et lui sauter dessus ! Toi aussi tu es timide et même si sa présence te plait, elle te gêne aussi beaucoup. Tout en poursuivant le dialogue, tu cherches le moyen de t’en sortir.
Sans inspiration, tu finis par dire « je m’excuse mais je commence à avoir froid dans l’eau, et, euh… je n’ai pas de maillot… ». Tu sens bien que tu es écarlate et malgré le froid qui te fait grelotter tu aurais envie de disparaitre sous l’eau. « Non mais ce n’est pas vrai !» penses-tu en constatant qu’à son tour il rougit ! « Oh, je suis vraiment désolé… je suis… euh… je ne voulais pas vous déranger… pardon… bien sûr, je m’en vais… Merci pour cette conversation… Bonne journée… ». Troublé, il a détourné les yeux des tiens et s’apprête manifestement à tourner les talons.
L’instant, cet instant. Tu sais, l’un de ces innombrables instants que l’on ressasse sans cesse, que l’on se repasse comme un vieil enregistrement usé. Tous ces moments clés où l’on se dit « j’aurais dû » ou « je n’aurais pas dû ». Ces instants que l’on a loupés ou que l’on aimerait rejouer ou au contraire effacer. Ces croisements où l’on ne sait pas si l’on a bien fait de tourner à gauche plutôt qu’à droite, si l’on aurait dû s’arrêter ou faire demi-tour. Ces occasions tellement furtives que l’on n’a pas su saisir. Voilà, tu en as là, juste là, à cet instant qu’il faut attraper au vol en une fraction de seconde ou peut-être laisser filer quitte à le regretter toute sa vie. Pas le temps de penser à ton homme, à la fidélité, aux conventions, même pas le temps de te demander si tu lui plais vraiment et si quelque chose va ou simplement doit se passer. Gauche ou droite ? C’est maintenant, il faut tourner, le mur approche, le timide charmeur charmant va partir.
Tu as l’impression que ta gorge est bloquée. « Non ! ». A ta grande surprise, ce non vient de sortir de ta bouche comme par sa propre volonté. Un non bien plus fort et aigu que tu ne l’aurais souhaité. Mais il est sorti, tu as donné le coup de volant, maintenant tu es lancée : « Non, non, si vous pouvez juste m’approcher ma serviette et détourner le regard le temps que je m’enveloppe dedans, nous pourrons continuer de discuter » poursuis-tu un brin chevrotante. Oh, punaise, le sourire qui accueille ta phrase stoppe net tes grelottements et tu rougis à nouveau comme si toute l’eau s’était retirée d’un coup. « Ah, bien sûr, avec grand plaisir, j’y vais !». Il s’exécute en petites foulées pour ne pas te faire attendre et s’avance même jusqu’à mi-mollets dans l’eau, tendant la grande serviette déployée à bouts de bras, la tête ostensiblement tournée le plus possible à s’en démettre une cervicale.
Telle Vénus sortie des eaux, tu avances alors, découvrant vite l’intégralité de ta nudité, ruisselante et parcourue de frissons. Tes tétons sont durs comme de la roche, est-ce le froid ou autre chose ? Tu t’avances lentement vers lui, cambrée, les seins brandis comme des armes. Tu as envie de jeter la serviette et de te coller à lui, ton ventre en est noué. Mais tu ne sais pas faire ça, c’est trop extrême, peut-être est-il seulement charmant et a-t-il juste envie de compagnie ? Ta poitrine entre la première en contact avec le drap de bain tendu entre ses bras immenses. Tu hésites encore une seconde, puis t’enroule sagement dans l’accueillant tissu, mais en prenant quand même soin de l’ajuster au mieux pour te mettre en valeur le plus possible avant d’autoriser ton inconnu à tourner la tête. Ainsi ajustée, tu lisses et regroupes tes cheveux avant de lancer « c’est bon, je suis descente maintenant, ne risquez pas un torticolis plus longtemps… ».
Il est si grand et tu es si proche que tu dois lever les yeux pour attraper son regard alors qu’il retourne sa tête vers toi. Son regard est brillant, mais son sourire encore plus timide, tu te demandes si lui aussi n’est pas en train d’hésiter à se jeter sur toi. Ou peut-être est-ce juste ce que tu voudrais qu’il pense. Plus de doute, le virage est pris, tu ne veux pas l’avoir pris pour rien…
La haute stature s’efface gracieusement pour te laisser le passage à son côté vers le sable sec. Quelques pas côte-à-côte dans le clapotis des eaux, et sa voix reprend peu à peu son flot enjôleur. Ses mots te caressent, même s’il parle de tout et de rien tu ne peux t’empêcher de boire ses paroles. Tu ne sens plus la chaleur du soleil tellement tes entrailles brûlent déjà d’un feu bien plus vif encore. Tu ris bien trop facilement, tu le sais, et tu as peur qu’il le remarque. Quoi que non, tu aimerais qu’il le remarque, ces préliminaires verbaux sont délicieux mais tu crèves d’envie de brûler les étapes, d’être enfin sure qu’il va bien laisser sa langue faire d’autres choses plus agréables encore…
Arrivés sur le sable sec, il te fait face. « Mon Dieu, qu’il est grand ! » penses-tu, et aussitôt tu ne peux empêcher ton esprit de dériver… « Tout est aussi grand ? ». Mince, tes yeux ont suivi ta pensée, ton regard a plongé vers son entrejambe, l’a-t-il remarqué ? Te sentant devenir écarlate, tu fais volte-face pour aller t’assoir à quelques mètres sur un petit rocher. « Vous êtes trop grand, vous me donnez le vertige » lâches-tu comme une diversion. Il rit. Ce rire est chaud. Ce rire te donne chaud. Il s’assoit à son tour directement dans le sable et reprend ses douces paroles, ses questions de plus en plus intimes auxquelles tu ne peux t’empêcher de répondre tellement il semble s’intéresser à toi. Il caresse le sable tout en parlant et tu voudrais déjà que ce soit le grain de ta peau qu’il effleure ainsi. Ses yeux cherchent les tiens, mais tu les détournes sans arrêt, encore sujette à une lutte intérieure entre ta volonté que tout explose en une étreinte torride et les doutes qui te restent sur ses réelles intentions.
Le temps s’étire, tu brûles de plus en plus, son verbe fait mouche et des compliments se succèdent, de moins en moins masqués. Tu ne veux plus attendre, tu veux savoir, et sans rien laisser paraître, assise en chien de faïence, tu écartes peu à peu les cuisses dans son axe, la serviette s’entrouvre. Il te semble voir passer un éclair dans son regard. Encore un peu et là tu es maintenant certaine que la serviette ne doit plus rien cacher de ton intimité. Un blanc. Oui, un blanc dans son discours pourtant si fluide. Un blanc puis un raclement de gorge. Serait-il gêné ? Cette fois c’est ton regard qui cherche le sien, mais il esquive, tourne la tête. Heureusement, avant même que tu n’aies eu le temps de t’en inquiéter, ses yeux reviennent vers toi, mais avant de rejoindre les tiens, tu notes qu’ils attaquent ta silhouette bien plus bas. Ses rétines étincellent et tu les accueilles d’un sourire entendu.
Il est muet désormais, mais tu ne bouges pas, le fixant toujours de tes beaux yeux. Enfin, il se lève, étirant son ombre immense jusqu’à tes pieds. Un pas, puis un autre, il avance lentement vers toi, les pupilles aimantées aux tiennes. L’envie d’observer à nouveau l’état de son bas-ventre te tenaille mais tu ne veux pas lâcher son regard, même si cela t’oblige à plier la nuque pour suivre l’immense stature de ton assaillant précautionneux. Le soleil a disparu derrière son écran, alors qu’il s’arrête là, juste devant toi, te surplombant de toute sa hauteur. Il entrouvre la bouche comme s’il allait reprendre son flot enivrant, mais rien ne sort. Il s’agenouille alors dans le sable à tes pieds. Tu penches la tête sur le côté, le sourire aux lèvres, prenant un air faussement ingénu et resserrant les cuisses. Sa main vient se poser sur la tienne. Là encore, ton haussement de sourcils feint la surprise alors qu’intérieurement tu exultes, sentant même déjà l’intérieur de tes cuisses s’emplir d’une moiteur tropicale.
Invité- Invité
Re: Sur le sable abandonnée...
Dans un flash, tu imagines son visage entre tes jambes, te donnant une irrésistible envie de griller toutes les étapes. Mais le charmant inconnu est toujours là à te fixer, sa main remontant ton bras, sa tête s’approchant progressivement, jusqu’à devenir flou. Tes paupières se ferment et tu sens ses lèvres se poser sur les tiennes. Sa douceur te comble, la douceur de ses lèvres, mais aussi et surtout la douceur de ses gestes, non pas timides, mais infiniment précautionneux et délicats. Tout est délicat et suave, de ses baisers à ses gestes, malgré sa taille il semble bouger comme un félin. Tes lèvres appuient vers les siennes, s’ouvrant largement dans un signal clair : tu veux mêler ta langue à la sienne. Mon dieu, là encore, quelle douceur ! La tête te tourne, la chaleur, ce ballet délicieux de vos langues enlacées, et ses mains… Oh ses mains, oui, ses mains, elles semblent immenses tellement tu as l’impression qu’elles sont partout sur toi. As-tu inspiré trop profondément ou a-t-il agit imperceptiblement ? Tu ne le sais, mais toujours est-il que tu sens ta serviette glisser, s’écoulant comme une vague sur la roche sous tes fesses. Plus aucun écran, et tu perçois comme une brûlure au niveau de tes seins : tes tétons pointent comme jamais, implorant l’inconnu de venir s’occuper de leur sort. Il lit dans tes pensées, c’est incroyable, alors qu’il se décale légèrement pour être accroupi face à toi, sa bouche toujours en pleine lutte avec la tienne, ses deux mains brûlantes viennent aussitôt enserrer tes seins. Toujours doux, mais de plus en plus ferme, ses gestes commencent aussi à devenir plus vifs. Tu quittes un bref instant ses lèvres délicieuses pour pousser un petit gémissement lorsque ses tétons se mettent à pincer bien plus fortement tes tétons. « Suces-les moi, vite ! ». Tu ne sais même pas si tu n’as fait que penser cette phrase ou bien si tu l’as réellement prononcée, peu importe, après un dernier baiser puissant et fougueux, le voici à genou, son visage plongeant sur ton sein gauche, le droit étant toujours enfermé dans sa paume. Tu plonges tes mains dans sa chevelure noire, écartes instinctivement tes cuisses et te cambres pour remonter ton buste s’incruster contre sa tête qui te dévore si délicieusement le sein. Il embrasse, lèche, suce, mordille… Tu soupires, halètes, puis gémit bruyamment quand il mord plus franchement ton téton, son jumeau bien pincé entre son index et son majeur. Sa main droite est descendue sur tes fesses, qu’il agrippe avec envie.
Tu bascules ton bassin vers l’avant et vient entourer sa taille de tes jambes. Tu es tellement excitée que sans même t’en rendre compte, tu plaques ton sexe contre son entrejambe et commence à onduler pour t’y frotter agréablement. Mais lui semble bien s’en apercevoir, car tu sens alors sa main sur tes fesses te presser plus fort encore contre lui, presque à te soulever. Tu sens contre ton pubis la chaleur de son bas-ventre, encore cloitré dans bien trop de tissu, mais si dur et rayonnant d’une chaleur torride. Tes mains s’agitent dans son dos, comme si tu cherchais à arracher ses vêtements… tu veux sa peau, tu le veux nu, tu veux qu’il te baise. Oui, ça tu sais que tu ne l’as pas dit à voix haute, mais cela résonne dans ta tête : « baises-moi !». Sa bouche a changé de cible, passée du sein gauche au sein droit, sa deuxième main venue prêter main forte sur tes fesses, maintenant puissamment pétries de ses doigts crispés dans ta tendre chair. Il te plaque d’autant plus fort contre son bas-ventre, et tu accélères, frottant frénétiquement ton sexe contre la bosse de son pantalon.
Puis quelque chose d’étrange se passe… Tout d’abord, tu ne comprends pas bien, peut-être perturbée par la chaleur et l’excitation, tu te sens tourbillonner, flotter, t’envoler. Sa bouche est brusquement revenue se souder à la tienne et la lumière semble vaciller, tu te sens basculer. Puis une sensation de brûlure tout le long de ton dos. C’est seulement lorsque son visage s’éloigne du tien, que sa bouche commence à dévaler ta gorge vers ton torse, que tu réalises que ses grands bras t’ont soulevée dans les airs, pour venir ensuite te déposer sans à-coups sur le sable brûlant, désormais allongée sous les assauts de ce futur amant si attentionné. Tu voudrais toujours lui arracher ses vêtements, mais tes bras ne peuvent plus atteindre que sa tête qui descend et descend encore. Tes seins vite dépassés, puis ton nombril… Tu inspires profondément, les tétons pointés désespérément vers l’azur infini alors que sa bouche embrasse enfin ton sexe en pure ébullition.
Ses mains écartent tes cuisses pour ouvrir complètement l’accès à ses lèvres qui commencent à déguster tendrement ce fruit si mal défendu. Tu lances un soupir d’aise plus sonore que tu ne l’aurais voulu, mais cela ne semble pas déplaire à ton partenaire, bien au contraire, qui lance sa langue à la recherche de ton clitoris déjà rubicond. Tu plaques tes doigts derrière sa tête, pressante, tes talons remontant son dos vers ses omoplates, tes cuisses ouvertes au maximum. Sa langue est incroyable, à la fois caressante, pénétrante et pressante, insatiable et précise. Sans préavis, alors que cette langue parcoure les lèvres de ton sexe en remontant vers ton clitoris pour venir le sucer, presque mordante, un doigt se glisse en toi. Tu cries déjà, tu voudrais te contenir, tu voudrais faire durer, mais plus aucune volonté ne t’habite, le plaisir monte à une vitesse vertigineuse, sa bouche, ce doigt, oh, non, deux doigts, son autre main qui se plante dans ton sein, tu serres les dents, résistes, te contractes, grognes comme si tu refusais de céder, puis… le soleil t’inonde, tes pupilles éclatent, ta bouche s’écartèle dans un bruit qui se perd dans des brumes vibrantes. Un orgasme totalement explosif, sans aucune retenue possible, tous les pores de ta peau sont entrés en éruption à l’unisson, de violent spasmes te secouent, se succèdent, trois, quatre, puis… rideau.
Tes jambes ont glissé de son dos, tes mains ont quitté ses cheveux, tu es allongée, sans vie. Pourtant, de la vie, il y en a toujours : un charmant inconnu est toujours là, embrassant tout doucement ton sexe rougi, caressant du bout des doigts ta peau, remontant vers ta gorge, ta joue. Tu souris, les yeux clos, goûtant la sensation ouatée de ces caresses au milieu des brumes d’ivresse qui t’enveloppent encore. Tu sens ses lèvres remonter à leur tour : ton ventre, tes côtes, ton sein gauche, puis le droit, ta gorge, le lobe de ton oreille, ta joue, puis tes lèvres. Ce baiser t’aide à sortir doucement de ta torpeur, ta bouche s’ouvre à nouveau et commence à danser au rythme du tourbillon de vos langues, de plus en plus rapide. L’orgasme est si proche, et pourtant… Pourtant ta main droite vient se plaquer sans hésitation aucune sur la bosse toujours dure du pantalon de l’homme qui te surplombe. Tes yeux s’ouvrent dans un plissement des plus coquins. Tes tétons durcissent à nouveau au simple contact de cette longue forme brûlante. « A mon tour, monsieur », penses-tu alors, le sourire aux lèvres, alors qu’il se recule un peu pour admirer ta beauté rayonnante. Une deuxième main vient en renfort, et avec une habilité experte tu dégages d’un simple geste l’objet de ta convoitise de sa prison de tissu. A son tour d’avoir les paupières qui s’abaissent quand tes doigts, certes plus petits, mais tellement doux et habiles, enveloppent son sexe de caresses sensuelles.
Tu vois ses yeux se fermer, son sexe durcissant à chacune de tes caresses, là, juste en dessous du prépuce gorgé de sève. Le voir ainsi prisonnier du plaisir que tu lui donnes te surexcites totalement, et tu fais alors ce que tu ne pensais pas être capable de faire. Telle une anguille, tu glisses sous lui pour envelopper directement son pénis de ta bouche si chaude. Tu sens un léger spasme chez ton partenaire : l’effet de surprise de cet assaut si soudain, ou bien l’effet du plaisir intense que tu lui procures ? Peu importe, le goût sur ta langue t’ensorcelle, tes mains s’agitent pour dégager complètement ta victime, sa queue, ses bourses, libérer ses fesses pour que tes ongles s’y plantent. Lui reste immobile, comme suspendu planté sur ses bras dans le sable, crispé par ce plaisir si aigu. Tu l’engouffres complètement et longuement, cherchant à lui procurer le plus de sensation possible, et tu y réussis manifestement ce qui te rends de plus en plus folle. Tu lâches un court instant ta prise pour te repositionner, mais il en profite alors pour redescendre à ton niveau, t’embrasser et commencer à parcourir ton corps de ses mains si chaudes. Tu en frissonnes, mais, possédée que tu es par l’idée bien précise que tu as en tête, tu refuses de le laisser mener la manœuvre pour cette fois. Dirigiste, tu te libères de son emprise, et, contre toute attente, tu parviens même à retourner la situation pour te retrouver d’un tour de passe-passe au-dessus de lui. Il est maintenant allongé sur le dos, la chemise ouverte et… plus rien d’autre ! Le regard mi-interrogatif, mi-excité, il semble se demander ce que tu veux faire de lui. Mais toi, là, tout de suite, tu sais très bien ce que tu veux. Debout devant lui, tu ondules légèrement, telle une danseuse, comme pour l’envouter par les jeux d’ombres et de lumières baignant ton corps magnifiquement nu, comme pour le frustrer un peu de ne pouvoir te toucher. Tes mains glissent sur tes seins, se perdent même un peu sur ton sexe, mais tu ne penses en fait qu’à une chose qui t’étonne toi-même : qu’il jouisse dans ta bouche…
Tu joues encore un peu de ta danse de sorcière, puis tu t’assieds sur lui comme pour le chevaucher. Perverse, tu sais qu’il doit être sûr que tu vas jouer les amazones, et tu lui laisses même y croire de plus en plus en venant doucement frotter ton sexe par-dessus le sien. La sensation est d’ailleurs tellement divine que tu t’y égares un moment, hésitant à changer finalement de plan. Mais non, tel est ton plan, tu dois lui rendre la monnaie de sa pièce, tu dois te venger, il t’a fait perdre tout contrôle en un temps si rapide, il n’y a pas de raison, à lui de se faire posséder. L’instant est alors tout trouvé, alors que ses mains commencent à remonter tes cuisses comme s’il voulait t’attraper par les hanches, tu glisses sur ses jambes, ta main droite agrippant son engin si raide, ton regard se plantant dans le sien pour l’avertir de la sentence sans appel. Pas un mot, mais tout est limpide. Agréablement résigné, il laisse retomber sa tête contre le sable alors que ta bouche l’enveloppe à nouveau de toute sa moiteur.
Tu bascules ton bassin vers l’avant et vient entourer sa taille de tes jambes. Tu es tellement excitée que sans même t’en rendre compte, tu plaques ton sexe contre son entrejambe et commence à onduler pour t’y frotter agréablement. Mais lui semble bien s’en apercevoir, car tu sens alors sa main sur tes fesses te presser plus fort encore contre lui, presque à te soulever. Tu sens contre ton pubis la chaleur de son bas-ventre, encore cloitré dans bien trop de tissu, mais si dur et rayonnant d’une chaleur torride. Tes mains s’agitent dans son dos, comme si tu cherchais à arracher ses vêtements… tu veux sa peau, tu le veux nu, tu veux qu’il te baise. Oui, ça tu sais que tu ne l’as pas dit à voix haute, mais cela résonne dans ta tête : « baises-moi !». Sa bouche a changé de cible, passée du sein gauche au sein droit, sa deuxième main venue prêter main forte sur tes fesses, maintenant puissamment pétries de ses doigts crispés dans ta tendre chair. Il te plaque d’autant plus fort contre son bas-ventre, et tu accélères, frottant frénétiquement ton sexe contre la bosse de son pantalon.
Puis quelque chose d’étrange se passe… Tout d’abord, tu ne comprends pas bien, peut-être perturbée par la chaleur et l’excitation, tu te sens tourbillonner, flotter, t’envoler. Sa bouche est brusquement revenue se souder à la tienne et la lumière semble vaciller, tu te sens basculer. Puis une sensation de brûlure tout le long de ton dos. C’est seulement lorsque son visage s’éloigne du tien, que sa bouche commence à dévaler ta gorge vers ton torse, que tu réalises que ses grands bras t’ont soulevée dans les airs, pour venir ensuite te déposer sans à-coups sur le sable brûlant, désormais allongée sous les assauts de ce futur amant si attentionné. Tu voudrais toujours lui arracher ses vêtements, mais tes bras ne peuvent plus atteindre que sa tête qui descend et descend encore. Tes seins vite dépassés, puis ton nombril… Tu inspires profondément, les tétons pointés désespérément vers l’azur infini alors que sa bouche embrasse enfin ton sexe en pure ébullition.
Ses mains écartent tes cuisses pour ouvrir complètement l’accès à ses lèvres qui commencent à déguster tendrement ce fruit si mal défendu. Tu lances un soupir d’aise plus sonore que tu ne l’aurais voulu, mais cela ne semble pas déplaire à ton partenaire, bien au contraire, qui lance sa langue à la recherche de ton clitoris déjà rubicond. Tu plaques tes doigts derrière sa tête, pressante, tes talons remontant son dos vers ses omoplates, tes cuisses ouvertes au maximum. Sa langue est incroyable, à la fois caressante, pénétrante et pressante, insatiable et précise. Sans préavis, alors que cette langue parcoure les lèvres de ton sexe en remontant vers ton clitoris pour venir le sucer, presque mordante, un doigt se glisse en toi. Tu cries déjà, tu voudrais te contenir, tu voudrais faire durer, mais plus aucune volonté ne t’habite, le plaisir monte à une vitesse vertigineuse, sa bouche, ce doigt, oh, non, deux doigts, son autre main qui se plante dans ton sein, tu serres les dents, résistes, te contractes, grognes comme si tu refusais de céder, puis… le soleil t’inonde, tes pupilles éclatent, ta bouche s’écartèle dans un bruit qui se perd dans des brumes vibrantes. Un orgasme totalement explosif, sans aucune retenue possible, tous les pores de ta peau sont entrés en éruption à l’unisson, de violent spasmes te secouent, se succèdent, trois, quatre, puis… rideau.
Tes jambes ont glissé de son dos, tes mains ont quitté ses cheveux, tu es allongée, sans vie. Pourtant, de la vie, il y en a toujours : un charmant inconnu est toujours là, embrassant tout doucement ton sexe rougi, caressant du bout des doigts ta peau, remontant vers ta gorge, ta joue. Tu souris, les yeux clos, goûtant la sensation ouatée de ces caresses au milieu des brumes d’ivresse qui t’enveloppent encore. Tu sens ses lèvres remonter à leur tour : ton ventre, tes côtes, ton sein gauche, puis le droit, ta gorge, le lobe de ton oreille, ta joue, puis tes lèvres. Ce baiser t’aide à sortir doucement de ta torpeur, ta bouche s’ouvre à nouveau et commence à danser au rythme du tourbillon de vos langues, de plus en plus rapide. L’orgasme est si proche, et pourtant… Pourtant ta main droite vient se plaquer sans hésitation aucune sur la bosse toujours dure du pantalon de l’homme qui te surplombe. Tes yeux s’ouvrent dans un plissement des plus coquins. Tes tétons durcissent à nouveau au simple contact de cette longue forme brûlante. « A mon tour, monsieur », penses-tu alors, le sourire aux lèvres, alors qu’il se recule un peu pour admirer ta beauté rayonnante. Une deuxième main vient en renfort, et avec une habilité experte tu dégages d’un simple geste l’objet de ta convoitise de sa prison de tissu. A son tour d’avoir les paupières qui s’abaissent quand tes doigts, certes plus petits, mais tellement doux et habiles, enveloppent son sexe de caresses sensuelles.
Tu vois ses yeux se fermer, son sexe durcissant à chacune de tes caresses, là, juste en dessous du prépuce gorgé de sève. Le voir ainsi prisonnier du plaisir que tu lui donnes te surexcites totalement, et tu fais alors ce que tu ne pensais pas être capable de faire. Telle une anguille, tu glisses sous lui pour envelopper directement son pénis de ta bouche si chaude. Tu sens un léger spasme chez ton partenaire : l’effet de surprise de cet assaut si soudain, ou bien l’effet du plaisir intense que tu lui procures ? Peu importe, le goût sur ta langue t’ensorcelle, tes mains s’agitent pour dégager complètement ta victime, sa queue, ses bourses, libérer ses fesses pour que tes ongles s’y plantent. Lui reste immobile, comme suspendu planté sur ses bras dans le sable, crispé par ce plaisir si aigu. Tu l’engouffres complètement et longuement, cherchant à lui procurer le plus de sensation possible, et tu y réussis manifestement ce qui te rends de plus en plus folle. Tu lâches un court instant ta prise pour te repositionner, mais il en profite alors pour redescendre à ton niveau, t’embrasser et commencer à parcourir ton corps de ses mains si chaudes. Tu en frissonnes, mais, possédée que tu es par l’idée bien précise que tu as en tête, tu refuses de le laisser mener la manœuvre pour cette fois. Dirigiste, tu te libères de son emprise, et, contre toute attente, tu parviens même à retourner la situation pour te retrouver d’un tour de passe-passe au-dessus de lui. Il est maintenant allongé sur le dos, la chemise ouverte et… plus rien d’autre ! Le regard mi-interrogatif, mi-excité, il semble se demander ce que tu veux faire de lui. Mais toi, là, tout de suite, tu sais très bien ce que tu veux. Debout devant lui, tu ondules légèrement, telle une danseuse, comme pour l’envouter par les jeux d’ombres et de lumières baignant ton corps magnifiquement nu, comme pour le frustrer un peu de ne pouvoir te toucher. Tes mains glissent sur tes seins, se perdent même un peu sur ton sexe, mais tu ne penses en fait qu’à une chose qui t’étonne toi-même : qu’il jouisse dans ta bouche…
Tu joues encore un peu de ta danse de sorcière, puis tu t’assieds sur lui comme pour le chevaucher. Perverse, tu sais qu’il doit être sûr que tu vas jouer les amazones, et tu lui laisses même y croire de plus en plus en venant doucement frotter ton sexe par-dessus le sien. La sensation est d’ailleurs tellement divine que tu t’y égares un moment, hésitant à changer finalement de plan. Mais non, tel est ton plan, tu dois lui rendre la monnaie de sa pièce, tu dois te venger, il t’a fait perdre tout contrôle en un temps si rapide, il n’y a pas de raison, à lui de se faire posséder. L’instant est alors tout trouvé, alors que ses mains commencent à remonter tes cuisses comme s’il voulait t’attraper par les hanches, tu glisses sur ses jambes, ta main droite agrippant son engin si raide, ton regard se plantant dans le sien pour l’avertir de la sentence sans appel. Pas un mot, mais tout est limpide. Agréablement résigné, il laisse retomber sa tête contre le sable alors que ta bouche l’enveloppe à nouveau de toute sa moiteur.
Invité- Invité
Re: Sur le sable abandonnée...
Une bien jolie plume...
Me voilà réchauffée pour la soirée
Me voilà réchauffée pour la soirée
Christel22- Messages : 17660
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Re: Sur le sable abandonnée...
Christel22 a écrit:Une bien jolie plume...
Me voilà réchauffée pour la soirée
Merci
Ah, il ne faut pas que je poste la suite alors, on risquerait d'accélérer le réchauffement climatique ?
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Re: Sur le sable abandonnée...
not-so-dark a écrit:Christel22 a écrit:Une bien jolie plume...
Me voilà réchauffée pour la soirée
Merci
Ah, il ne faut pas que je poste la suite alors, on risquerait d'accélérer le réchauffement climatique ?
Hum, je la connais la fin mais pour les autres lecteurs, ce serait sympa de la mettre quand même
Puis c'est très bien de me réchauffer juste avant le week-end
Christel22- Messages : 17660
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choc'o pom- Messages : 534
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Christel22 aime ce message
Re: Sur le sable abandonnée...
Le Schtroumpf grognon serait il aussi le Schtroumpf écrivain?
Une bien jolie plume qui éveille les sens et donne envie d'être cet inconnu et vivre cette délicieuse rencontre.
Vivement la suite
Une bien jolie plume qui éveille les sens et donne envie d'être cet inconnu et vivre cette délicieuse rencontre.
Vivement la suite
roro56- Messages : 5498
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Localisation : bretagne
Christel22 et Lucky aiment ce message
Re: Sur le sable abandonnée...
Suite et fin alors, merci pour vos commentaires
Tes lèvres épousent la longue forme, ta langue la caresse avec insistance, tes doigts pressent sa base, tu le suces avec un empressement et une envie telle que tes mouvements deviennent vite frénétiques. Tu ne réalises même pas qu’il a une main perdue dans tes cheveux, tu te laisses juste emporter par un rythme effréné de violentes saccades, son sexe emplissant ta bouche, ton palais, ta gorge, et le résultat ne se fait que peu attendre : il explose. L’instant juste avant, tu as senti tout son corps se crisper à l’extrême, tu as même senti sa main empoigner furieusement tes mèches, un râle a résonné agréablement à tes oreilles, puis le feu de son sperme a rempli ton gosier par jets successifs, si nombreux que le souffle t’en manquait. Il a joui si violemment que tu en éprouves un plaisir si intense, et tu es si fière de toi. C’est un peu bête peut-être, mais oui, tu es simplement fière de l’avoir fait jouir ainsi, aussi vite et aussi ardemment.
Le menton calé sur son pubis, son sexe tout dégonflé encore entre tes doigts, tu regards vers son visage avec un sourire satisfait aux lèvres, mais ne parvient pas à capter son regard qui semble perdu dans les cieux. A-t-il son compte ? Tu n’espères pas, ton bas-ventre fourmille encore tellement d’envie, et tu voudrais quand même bien connaitre la sensation de son sexe au fond d’autre chose que ta gorge… « Mais ma parole, je suis une vraie obsédée » pense-tu intérieurement, mais cela te fait sourire. « Oui, j’ai envie, encore et encore, donnes-moi tout ce que tu as, bel inconnu ! ». Après lui avoir laissé un petit temps de répit, non sans caresser machinalement le dessous de ses bourses et son pénis en berne, tu reviens te mettre à califourchon au niveau de ses hanches, heureuse de le découvrir tout sourire et les yeux brillants. Ses mains remontent tout doucement, dans une caresse infiniment délicate, le long de tes cuisses, s’attardent un peu sur tes fesses qui apprécient grandement l’attention. Puis ses longs doigts parcourent ton torse pour venir emprisonner tes seins, tu t’abandonnes un instant… Tandis que sa main gauche garde un téton durci prisonnier, la droite redescend ton ventre, puis arrive plus bas. Là encore, tu acceptes de te laisser faire, et ses doigts font merveille. Tu fermes les yeux, les mains plantées sur son torse, alors qu’il caresse ton intimité. Ton bassin ondule par réflexe, et tu sens derrière tes fesses la chaleur d’une forme qui doit manifestement grossir et durcir à nouveau. Cette dernière sensation attise encore plus ton désir, et ses doigts qui entrent en toi souffle un vent encore plus intense sur les braises qui envahissent ton ventre. Tu es parcourue d’un frisson soudain, sans raison particulière, tu sens juste que ton corps réclames à nouveau la jouissance.
Mais cette fois-ci le match bascule, alors que tu t’apprêtes à te saisir de son membre, ses mains puissantes embarquent tes fesses pour te soulever littéralement jusqu’à son visage. Tu en laisses échapper un hoquet de surprise, oui, il vient de t’assoir d’autorité sur son visage, et sa bouche s’est aussitôt soudée à ton sexe. « Non mais qu’est-ce qu’il croit, que c’est lui qui commande ? ». Mais bien vite, ta volonté de meneuse fond sous ses coups de langues. Tu gémis déjà fortement, tu cries même quand ses mains viennent presser tes seins alors que sa bouche devient vorace. Oh, non, ça vient déjà, tu ne peux pas lutter… Recroquevillée sur sa tête, les mains crispées dans ses cheveux, grimaçante d’un vain effort de retarder l’échéance, tu jouis à nouveau, ton bassin tremblant sur son visage caché. Tu halètes au-dessus de lui, un peu perdue, à la fois baignée du plaisir intense, mais en même temps déconcertée. Jamais tu n’avais joui aussi vite, et deux fois de suite en plus. Que se passe-t-il ? Sans le vouloir, tu laisses échapper un petit grognement en te dégageant de son emprise, mais alors en te remettant debout, ton regard tombe à nouveau sur son sexe en pleine forme, et tout questionnement disparait. Tu viens de jouir quelques secondes plus tôt, et pourtant cette longue queue gorgée d’envie t’attire comme un aimant. Il fait si chaud, tout ton corps est engourdi mais pourtant tu ne penses déjà plus qu’à avoir cette forme entre tes cuisses, à la faire glisser au fond de toi.
Tu t’agenouilles à ses côtés. A peine une petite caresse de tes doigts et la voilà déjà toute dressée. Ta langue ne peut se retenir, tandis que tu sens aussi ses doigts qui ne se retiennent pas non plus de revenir en toi. Brrrrr, ça y est, ça recommence, tu as déjà envie de jouir. Non, non, et non, pas cette fois-ci, tu te dégages aussitôt, et, sans concession, tu viens t’empaler sur sa queue. Délicieuse brûlure que ce morceau de lui au fond de tes entrailles inondées, tu restes ainsi plantée au maximum, sentant tous les détails de son membre que tu serres le plus possible des parois de ton antre, concentrée sur ce plaisir intense de première pénétration. Mais ses mains viennent bien vite te réveiller, soulevant tes fesses pour lui laisser le loisir d’aller et venir en toi. Tu le laisses d’abord faire, toujours concentrée sur tes sensations. Il va doucement, dans d’amples oscillations sur toute la longueur de son pénis turgescent. Tu découvres même qu’il prend plaisir à le ressortir à plusieurs reprises, juste pour goûter au plaisir de te pénétrer à nouveau, et tu aimes cela. Puis tu bascules ton bassin, les bras en arrière, tes fesses pressant sur ses testicules, le bloquant au plus profond, remuant délicatement tes hanches pour un massage mutuel de vos sexes en communion. Il en laisse échapper un profond murmure et ses mains viennent remercier tes tétons brandis vers le soleil toujours incandescent. Tu te cambres encore un peu plus en arrière, faisant remonter ton bassin pour contrôler toi-même la pénétration. Tu fais glisser sa queue en toi à ta guise, pas trop vite, tu essayes de gérer cette fois la monté du désir. Ses grands bras devenus malgré tout trop courts ont lâché tes seins, l’un plaqué sur ton ventre, l’autre te caresse le clitoris. Le plaisir monte vite, très vite.
Tu amplifies tes mouvements, tes gémissements commencent à se faire entendre. Trop emballée, tu balances tellement que son sexe sort de ton doux fourreau. Dans un grognement frénétique, tu attrapes cet engin éjecté, rebascules en avant, et tout en attrapant sauvagement la bouche de ton partenaire pour un baiser des plus appuyés, tu l’engouffres à nouveau en toi. Dans cette nouvelle posture, il est désormais parfaitement libre de ses mouvements, et ne rate pas l’occasion de commencer à pilonner tes fesses d’un assaut d’office très fougueux. Ses mains se plantent dans tes hanches, il accélère, accélère encore, encore et toujours, tu entends son souffle haletant, presque rageur. Tout est en feu, il ne s’arrête plus, la tête te tourne. Tu as envie de l’embrasser encore, mais tout remue tellement, tu ne peux que le laisser faire et sentir ton sexe s’enflammer, tes fesses se faire marteler. Tu le sens alors venir en toi, et cette chaude décharge te déclenche aussitôt un orgasme, à l’unisson de ton hôte. Chaque chaude réplique t’arrache un nouveau cri, jusqu’à ce que, de guerre lasse, tu t’effondres sur son torse pour t’y souder telle une poupée désarticulée, ivre de plaisir.
Sa respiration est lente et profonde, tu restes l’oreille collée à sa poitrine alors que ses doigts fouillent tendrement ta chevelure emmêlée. Alanguie, songeuse, ta main glisse sur son ventre noyé de sueur pour venir toucher avec précaution ce qui reste de sa virilité. Sortant peu à peu de ta torpeur, tu sens à nouveau les rayons du soleil percer ta peau. Couverte de sueur également, l’eau clapotant tout près t’attire irrésistiblement, mais ton corps est si lourd, et tu es si bien sur ton inconnu caressant. Pourtant, la chaleur est si forte que tu finis par te résigner à quitter sa peau, tu te redresses, l’enjambes en direction de la mer qui t’appelle, et… et une main agrippe ton poignet. « Pas si vite » entends-tu. Te voilà entravée, restée dressée sur tes genoux, la main bloquée sur tes reins, tournant le dos à cet homme qui te retient là fermement et dont tu sens l’ombre venir te couvrir. Il est là, juste derrière toi, il vient se coller, son torse contre tes omoplates, sa bouche embrassant ton cou, ta nuque, ton épaule, sa main libre dessinant ton flan du bout des doigts, et… sa queue déjà dure appuyant contre tes reins ! Tu ne peux retenir un léger éclat de rire en découvrant ainsi qu’il est déjà en pleine érection, et d’ailleurs sa main qui te retient dirige la tienne à la rencontre de ce pieu bien dressé. Prisonnière toute consentante, tu obtempères avec délice, caressant cette verge qui durcit encore et encore entre tes doigts. Sur de ta pleine coopération désormais, il lâche sa prise pour laisser ses deux mains parcourir ton corps. Sa bouche devient vorace, et tu te contorsionnes pour lui offrir la tienne. Ses mains serrent si fort tes seins, tes tétons pincés entre ses doigts, c’est si intense que ta gorge laisse percer un cri au travers de vos baisers furieux. Malgré la position peu confortable, tu branles sans retenu son sexe gonflé à bloc. Manifestement ravi de ces attentions, il te rend la pareille d’une main glissée sur ton pubis. Mince alors, non, il va encore te faire jouir, c’est agaçant. Il glisse ses doigts en toi, alors que sa bouche mord ton cou, puis les ressort pour te masturber de plus belle. Tu pousses de petits cris, le plaisir monte encore comme une flèche.
Mais cette fois-ci, à ta grande surprise, il relâche son emprise au moment où tu pensais le point de non-retour atteint. Lâchant ta bouche, ton sein et ton sexe, il libère le sien de ta paume, et te bascule en avant pour te mettre à quatre pattes devant lui, s’offrant une vue imprenable sur tes sublimes fesses, luisantes et offertes.
Sans manière aucune, il te pénètre d’un coup de rein. C’est divin, tu t’en mords les lèvres et ne peux t’empêcher d’envoyer ta main te caresser un peu, au prix d’un équilibre des plus précaire. Il le remarque d’ailleurs, et, amusé, te laisse le loisir de poursuivre un peu, prenant le temps de parcourir tes fesses, ton échine et tes seins de caresses lascives. Toujours en douceur, il joue à nouveau à entrer et sortir de toi, et tu sens à ses murmures à quel point cet exercice lui plait. Tu participes d’ailleurs un peu à ce jeu, laissant un instant ton clitoris pour attraper son membre, le presser doucement contre ton sexe, et le guider en toi. Une, deux, trois fois, puis… Puis il guide à son tour ta main d’autorité pour que tu reprennes des appuis stables. Le message est clair, l’assaut commence. Tu l’entends se repositionner un peu, et son sexe te transperce brutalement. Ses mains s’incrustent dans tes hanches à en marquer ta peau. Sa main droite passe même dans tes cheveux, puis attrape ton épaule, alors qu’il commence à aller et venir de plus en plus fort. Le claquement de son bas-ventre contre tes fesses devient bruyant, tout balance, tourne autour de toi. Tu entends son souffle rageur. Il appuie sur tes reins, tu te cambres encore plus, tes seins frôlent le sable brûlant, il se repositionne et repart de plus belle. Tu n’arrêtes plus de crier, tu l’encourages même à poursuivre, plus vite, plus fort. Tu perds tout contrôle, tes seins se meurtrissent contre le sable, tu as le visage plaqué sur tes mains, tentant vainement d’amortir ses coups de boutoir de plus en plus violents. Cette fois, c’est toi qui explose bien avant lui, laissant échapper une incroyable vocalise alors qu’il attaque encore comme un dément. Inondée de bien-être, tu le sens encore aller et venir en toi à un rythme effréné, puis brusquement se retirer. Dans tes nuages roses de désirs assouvis, tu perçois alors la chaude sensation de son sperme qui arrose tes reins et tes fesses…
Le soleil, le bruit des vagues, c’est tout. Tu t’es effondrée par terre, du sable collé partout, le visage à moitié enseveli. Tu ne sais même plus où il est, tu as vaguement entendu un bruit de corps s’allongeant derrière toi, mais tu ne veux plus ouvrir les yeux, plus bouger, ton corps brûlant te semble peser une tonne. Pourtant, tel un instinct de survie, quelque chose te pousse à te trainer tel un félin vers les ondes rafraichissantes. Tu avances à quatre pattes jusqu’au pied des vagues, la fraicheur venant fouetter tes mains, puis tes genoux. Encore quelques mouvements épuisants et te voilà dans suffisamment d’eau pour te laisser porter, allongée, le visage immergé, baignée de cette eau qui semble glacée, mais qui te fait tellement de bien. Etourdie, enivrée, tu restes ainsi, promenée par les mouvements de l’océan, balancée de droite et de gauche, d’avant en arrière, roulant de temps à autre sur le dos pour respirer un peu, puis replongeant sur le ventre pour sentir encore le froid envelopper ton visage. Combien de temps ? Aucune idée, tu ne sais même pas s’il est encore là, tu veux laisser toutes ces brûlures de ton corps épuisé s’écouler dans ces eaux. Ta peau semble absorber toute la fraicheur de la mer, puis, petit à petit, le feu s’efface pour laisser place au bien-être. Tu flottes toujours comme un tronc abandonné, retenant ton souffle en fixant le fond sableux, quand une autre sensation vient se mêler aux caresses des vagues : une main ? Oui, une main sur ton mollet, une main fraiche qui remonte derrière ton genou, ta cuisse…
Tu sors la tête de l’eau, et au milieu des gouttelettes qui ruissèlent sur ton visage tu le vois, un sourire terriblement tendre aux lèvres, juste à côté de toi, accroupi dans les vagues, immergé jusqu’à la poitrine. Sa main est sur ta fesse et semble vouloir y rester. Cette belle prise en main, il t’attire doucement vers lui et t’embrasse. Tu t’accroupis face à lui, et vos baisers s’éternisent, à la fois tendres et passionnés, vos mains s’égarant de-ci, de-là, parcourant la peau de l’autre, parfois hors de l’eau, parfois dans les ondes. Il quitte un peu ta bouche pour embrasser ton cou, et glisser au passage quelques nouveaux compliments si élogieux que tu en rougis instantanément.
Tu te relèves, un brin provocante, debout devant lui, de l’eau jusqu’à mi-cuisse, des filets d’eau s’écoulant gracieusement de ta longue chevelure éparpillée jusqu’à ton ventre, convergeant vers ton sexe à hauteur de ses yeux. Tu plaques tes mains sur tes cheveux, basculant la tête en arrière dans une cambrure irrésistible, essorant tes longues mèches dans un petit bruit de cascade. Comme tu l’espère, il n’en perd pas une miette, dévorant de ses yeux de braise ta silhouette baignée de lumière, remontant de ton sexe, par ton ventre, vers tes seins pointés comme des armes. Quand tu regardes à nouveau vers lui, il est en train de sortir à son tour des eaux, ruisselant de toutes parts. Ton regard tout de suite attiré par une certaine zone, tu laisses échapper un « ohhhh » devant son sexe déjà dressé. Cette réaction le fait éclater de rire, et tu rougis encore une fois. Mais il ne te laisse pas le temps de l’embarras, venant aussitôt se coller à toi, ce dur objet de désir se collant à ton ventre alors qu’il t’embrasse fougueusement et que ses doigts s’enfoncent dans la tendre chair de tes fesses. Cette sensation de sa queue brûlante contre ton nombril te rend folle et tes ongles se plantent dans ses reins tandis que ta bouche devient carrément mordante. Loin de lui déplaire, cette agressivité semble le motiver encore plus et il te presse toujours plus fort contre lui, ses mains écartant et pétrissant tes fesses. Vos bouches ne se séparent plus et bataillent dans de grands bruits de souffles courts et de succions frénétiques. Une de ses mains s’échappe et se glisse entre vos ventres contractés pour te caresser juste là où tu bouillonnes…
Tu mords sa lèvre quand son doigt touche sa cible, tu as envie de lui crier des mots salaces, mais tu ne sais pas faire, enfin… tu n’oses pas. Mais sa main te brûle tellement, et sa queue… A leur tour, tes doigts se précipitent agripper son membre, avec une vigueur telle que cela lui en arrache un spasme. Tu laisses filtrer un rire canaille à travers vos baisers tout en commençant à le caresser doucement, puis bien vite avec beaucoup plus de fermeté et de vivacité. Ses doigts se synchronisent avec les tiens, vous vous masturbez l’un l’autre… Vos langues se délaissent, vos bouches s’écartent très légèrement, vos fronts collés, haletant tous les deux dans le souffle de l’autre. Il grogne, tu gémis. La sensation de son membre si énorme et si dur, prêt à exploser entre tes doigts qui s’agitent t’enivre… Il grogne encore, tu penses qu’il va jouir, mais non, de gestes vifs et autoritaires, il dégage tes doigts de leur victime, attrape tes fesses et te soulève dans les airs. Tu écarquilles tes beaux yeux en te sentant ainsi t’envoler et surplomber un bref instant son regard brillant. Tes jambes s’enroulent autour de ses reins, tu sens ses fesses contractées contre tes chevilles, puis tu sens… tu sens son sexe se placer sous toi, juste à l’orée de ton bas-ventre qui n’attend plus que cela. Tu es à sa merci, il contrôle tout par la seule force de ses bras, tu te contentes de plaquer tes mains sur ses omoplates, de braquer ton regard dans le sien, la bouche entrouverte dans un sourire béat.
Il te fait redescendre un peu, tout doucement, et tu sens tous les détails de sa verge qui entre peu à peu en toi. Tu ne mords plus ses lèvres, mais les tiennes, tu te mords les lèvres tellement la sensation est intense. Tu sens la pointe de tes seins plantée dans son torse se frayer un chemin en descendant au travers de sa toison. Puis remonter un peu, et descendre à nouveau. Tu as fermé les yeux, toute concentrée sur cette sensation de sa queue qui glisse en toi, et tu contractes tes abdominaux pour serrer le plus possible cette excitante forme au sein de tes entrailles. Tu accompagnes ses gestes de toute l’ampleur de ta cambrure, accrochée à cet éperon torride, gémissante, grimaçante, tes ongles déchirant son dos. A chaque fois qu’il te fait descendre complètement, le plaisir est tel qu’il t’en arrache un petit hoquet. D’ailleurs, à un de ces moments particuliers où il est au plus profond de toi, tu te sens basculer. La fraicheur d’une vague vient recouvrir tes épaules, puis tout ton dos, il vient de te déposer doucement dans quelques centimètres d’eau, sur le sable inondé bercé par la marée. Tu te laisses ainsi atterrir, ton bel amant toujours en toi, ses bras maintenant planté dans le sol de part et d’autre de ton cou.
Tu ne sens même plus la froidure de l’eau, ton corps se consume maintenant au rythme de ses hanches, le clapotis des vagues se mêlant aux saccades de son bassin. Il redescend sur ses coudes, tu sens le poids de son corps si grand couvrant le tien, il te dévore de baisers tout en continuant de te prendre lascivement. Il prend son temps, et le plaisir manifeste qu’il semble prendre à aller et venir en toi augmente encore ton désir. Son sexe aime le tien, et le tien le lui rend bien. Tes mains profitent pleinement de ses fesses, et sa bouche vient mordre tes tétons noyés dans les flux incessants. Ta chevelure danse dans les flots, la tête te tourne quand il accélère, tout oscille, balance, ondule autour de toi, sur toi, en toi. Il se soulève à nouveau à bouts de bras, martelant de toute la force de ses reins ton antre inondée de toute part. Il souffle, râle, tes gémissements se mélangent aux siens, tu chantes au milieux des eaux quand il implose dans un violent spasme… puis explose en toi. Tu sens chaque projection de son sperme en toi, accompagnée d’un profond coup de rein. Il jouit, les yeux clos, la bouche ouverte et haletante, puis reste soudé, son bas-ventre collé au tien. Après cet instant suspendu, il s’effondre sur toi, ses bras entourant ta tête, le nez blotti sur ton épaule, comme un enfant apeuré.
Ecrasée sous sa masse bien inerte, tu arrives d’une caresse appuyée à l’enjoindre à te laisser respirer. Il roule à ton côté, sur le dos, et tu te colles à lui pour l’embrasser tendrement, les vagues s’effaçant peu à peu avec la marée, désormais juste à vos pieds. Tu es si bien, tu ne peux y croire, il est là tout contre toi, les yeux clos mais les lèvres souriantes, tu ne peux t’arrêter de le couvrir de baisers attendris. La brûlure du soleil a disparu, la fatigue aussi, laissant juste place à une grande plénitude. Tu l’embrasses et l’embrasses encore, il reste passif mais souriant, tes mains se perdent sur son torse, sur ses côtes. L’astre solaire descend peu à peu, baignant vos corps enlacés d’une lumière plus chaude, plus caressante. Cette fois-ci, c’est toi qui lui parle. Toi si timide, tu lui confesses ton extase, ton bien-être, tes envies… Car oui, malgré toute cette avalanche de plaisir, tu fourmilles encore d’envie, et comme si tes paroles ne suffisaient pas, ta main devient tout de suite très explicite en plongeant vers son bas-ventre. Il ne bouge toujours pas mais son sourire semble de plus en plus franc. Après une légère caresse de son sexe encore sans vie, tu viens serrer entre tes doigts affamés ses bourses. Ses paupières s’ouvrent alors et il découvre que tu le fixes de tes yeux si étincelants. Relâchant ta pression, tu reprends au creux de ta paume son pénis encore léthargique, puis en posant un baiser léger sur sa joue barbue tu lui glisses un ingénu : « tu crois que tu pourrais encore ? ». Il rit de bon cœur : « Je n’en sais franchement rien, mais ce n’est pas l’envie qui m’en manque » lâche-t-il en passant une main sur tes fesses, l’autre plongeant dans tes cheveux pour amener ta bouche sur la sienne. Combien de temps cela fait-il ? Une heure ? Peut-être plus, ou peut-être moins… Pourtant, tu as l’impression que vos langues se sont toujours connues, il t’embrasse juste comme tu aimes, sans excès de fougue, juste ce qu’il faut pour faire monter ton envie du creux de ton ventre jusqu’à la pointe de tes seins. Au creux de ta paume la chaleur monte déjà. Mon Dieu, que tu aimes cette sensation d’un sexe qui grossit et durcit entre tes doigts, tu voudrais qu’il puisse bander ainsi pour toi, par toi, à longueur de journée.
En tout état de cause, pour l’instant il bande encore, et tu ne lâches plus ce sexe en pleine expansion, que tu gratifies de tes plus habiles caresses. Sa bouche s’enfuie brusquement, et dans une adroite contorsion il vient directement se ruer sur ton sein gauche. Sans détour, il suce, mord, tandis que ses mains commencent aussi à devenir pressantes. Tu en lâches ta brûlante prise pour t’assoir complètement sur lui et prendre sa tête entre tes mains alors que ses dents sur ton mamelon t’arrachent des bruits stridents. Ses bras te plaquent contre sa bouche, les tiens pressent dans sa chevelure, plus rien d’autre ne bouge que sa bouche sur ton sein, tu es entièrement tendue vers ton téton délicieusement meurtri par ses soins carnassiers. Il change alors de victime et tu ne bouges pas, tu ne peux plus te concentrer sur autre chose que cette morsure si vive mais si jouissive. Tu scandes des bribes d’encouragements incompréhensibles au milieu de gémissements déchirants. Ton sexe inondé s’écoule sur son ventre et la sensation de sa queue raide plaquée derrière tes fesses complète ton excitation.
Quand il laisse enfin ta poitrine respirer, haletante, tes tétons tendus comme tes flèches, tu appuies de tout ton poids tes mains sur ses pectoraux pour le plaquer au sol. Le souffle saccadé, tu le toises un instant, comme hésitante, les ongles restés plantés dans son torse, tels des griffes dans une proie. Puis, un peu brusque, tellement excitée, tu fais volte-face, ta bouche fondant sur son sexe pleinement déployé, plaquant ostensiblement ton bassin au-dessus de son visage ravi. Nul besoin d’explication ou de suppliques, il agrippe aussitôt tes fesses de ses puissantes et grandes mains, et sa bouche vient à la rencontre de ton sexe suppliant. Il te déguste avec un appétit non dissimulé, ce qui te rend d’autant plus avide à avaler sa queue. Assaillie de toutes part de sensations intenses, sa bouche, sa langue, ses mains qui pétrissent tes fesses, son sexe dans ta gorge, tu ne contrôles plus rien. Tu le suces furieusement, ôtant parfois ce délicieux engin de ta bouche pour le parcourir de tes doigts serrant fortement, le dessinant ensuite longuement du bout de ta langue. De son côté, il continue son travail d’expert, sa langue s’immisçant de plus en plus en toi, ses doigts l’accompagnant parfois, puis un index aventureux commençant à s’attarder sur une autre cible plus étroite. A bout de souffle, tu laisses un moment ta tête reposer sur son bas-ventre, fixant son pénis que tu caresses maintenant plus doucement entre tes doigts, alors que ton partenaire lui ne baisse pas le rythme de ses attentions à l’égard de ton bassin en feu.
Tu te laisses aller à profiter de tout ce plaisir qu’il te prodigue avec empressement, continuant d’admirer son sexe glissant entre tes doigts, quand tu sens son doigt masser de plus en plus précisément ton anus, dessinant la raie de tes fesses pour y revenir encore un peu plus pressant. Un murmure gourmand s’échappe de ta gorge pour l’encourager dans ces explorations, et, aussitôt, son doigt te pénètre. Tu ne peux réprimer un mouvement de ton bassin, poussant encore plus ton sexe contre sa bouche toujours alerte. Tu grimaces, concentrée, la bouche ouverte. Sa bouche ralentit, il te lèche plus lentement, mais son doigt s’enfonce complètement, ressort et rentre plusieurs fois, puis un second doigt le rejoint. Ta main libre griffe sa cuisse, tu deviens bruyante, l’autre main masturbant violemment son sexe apoplectique. Tu tentes de sucer à nouveau ce pieu si raide, mais l’exercice est difficile car il se contorsionne pour écarter encore plus tes fesses, sa langue venant se glisser à son tour au coeur de ton petit trou, qui ne l’est plus tant, plus si petit.
Sans concertation, ni mot ni même regard, vous lâchez tous deux vos excitantes prises, quittez vos positions respectives. Il s’allonge sur le côté, son sexe furieux en attente, et tu viens, docilement mais tremblante d’envie, t’allonger devant lui, pointant tes fesses offertes devant lui. Fébrile, tendu, bouillonnant de désir, il tente difficilement de se contenir, de prendre le temps, mais son pénis a déjà trouvé sa cible. Son prépuce est déjà au contact de ton anus, et tu accentues ta cambrure dans une invitation impossible à refuser. Tu accompagnes même ce geste d’un petit gémissement suppliant : tu le veux en toi, vite, tes entrailles te consument. Une bouche embrasse tes cheveux, ta nuque, mordille ton épaule tandis qu’une paume immense se plaque sur ton ventre. Tu gémis encore, impatiente, et presse de tes fesses sur sa queue si dure. Tu le sens enfin pousser de ses reins, tu sens le dessin de sa verge qui se fraye un chemin en toi. Ta tête a basculé en arrière, le visage figé, les yeux clos, la bouche grande ouverte dans un râle de désir culminant. Très lentement, sas à-coups, il se glisse entièrement dans ton cul réjoui. Tu lui cries ton plaisir, tentant difficilement de lancer en arrière ta main pour lui agripper les cheveux.
Il mord ton oreille juste au-moment où tu le sens au plus profond son ventre pressant de toutes ses forces contre tes fesses, sa main comprimant toujours ton ventre, vous bloquant ainsi, incrustés l’un dans l’autre. Il commence à bouger lentement, sa main glissant un peu plus bas pour te caresser, comme si tu avais besoin de plus de stimulation. Tu te mords les lèvres, te pince un téton prêt à exploser. Son membre coulisse dans ton cul devenu incandescent avec grande amplitude, accélérant peu à peu, ses doigts titillant vivement ton clitoris. Il ralentit, et encore une fois tu constates qu’il prend un malin plaisir à se retirer de toi pour mieux entrer à nouveau, t’arrachant un profond cri à chaque renouvellement de ce vicieux exercice. Le plaisir est tellement partagé que tu ne peux refreiner un orgasme explosif au cours duquel tout ton bassin se contracte sur sa queue, lui arrachant un puissant frisson. Mais il n’a pas l’intention de s’en arrêter là et continue de marteler ton joli derrière de ses assauts avides, et ta jouissance se prolonge de répliques interminables. Tous les sens embrumés, tu te laisses faire, devenue la passive victime de ses mouvements, la tête baissée vers ton buste secoué de spasmes, complètement incapable d’agir ou de penser, perdue dans un continuum de plaisir.
Il halète contre ta nuque, excité en diable de te procurer une telle jouissance, puis sa tête s’éloigne, ses mains poussent ton buste en avant, son bassin te pilonnant avec tout ce qui lui reste d’énergie. Reprenant un peu conscience et le sentant à bout de souffle, tu décides de reprendre les choses en main. D’une main caressante, tu arrives à lui faire comprendre tes intentions, et il te laisse te dégager de lui. Souriante, lumineuse, si belle, tu te retournes vers cet amant épuisé, le fait rouler sur le dos, et enserre son sexe violacé dans ta main. Prestement, tu le caresses, sentant cet engin luisant glisser à toute vitesse entre tes doigts. Tu l’avales, le suces bruyamment, ta tête balançant vers son pubis avec empressement, tu ne veux plus laisser retomber son excitation. Ses forces semblent l’abandonner, il se laisse totalement faire, seul son ventre se contractant de plus en plus à mesure que tu sens son plaisir monter et monter encore. Il ne peut le voir, mais tu jubiles en le sentant au bord du gouffre, au point que ton bas-ventre fourmille encore quand tu le sens enfin exploser dans ta bouche, sa chaude semence envahissant ta gorge. Tes yeux parviennent à attraper son regard alors qu’il jouit sans retenu, et ses pupilles dilatées sont ta plus belle récompense. Il soutient ton regard jusqu’à la dernière secousse, puis laisse sa tête retomber lourdement dans le sable, totalement vidé. Ivre du plaisir, reçu et donné, tu souries toute seule en continuant de lécher doucement sa verge déclinant peu à peu. Tu sais que vos deux corps ne pourront aller plus loin, mais pourtant tu ne veux plus lâcher cet objet qui t’a procuré tant de plaisirs.
La lumière est faible à travers les arbres. Tu es face à la porte de ta voiture, ne sachant même plus comment tu es arrivée là. Rien ne te reste de ta marche de retour, tu devais être ailleurs. Tu ne te souviens même pas de t’être rhabillée, tout est flou et brumeux, seul ton corps te rappelle la réalité de tout ce qui vient de se passer. En ouvrant la portière, te revient comme un flash ce dernier baisers langoureux, épuisé mais si intense. T’asseyant et mettant le contact, telle une somnambule, des mots résonnent dans ton cerveau. Ces mots qu’il a glissé à ton oreille quand vos corps se sont séparés à regret. Ces mots, ces deux simples mots… « A demain ? ».
Tes lèvres épousent la longue forme, ta langue la caresse avec insistance, tes doigts pressent sa base, tu le suces avec un empressement et une envie telle que tes mouvements deviennent vite frénétiques. Tu ne réalises même pas qu’il a une main perdue dans tes cheveux, tu te laisses juste emporter par un rythme effréné de violentes saccades, son sexe emplissant ta bouche, ton palais, ta gorge, et le résultat ne se fait que peu attendre : il explose. L’instant juste avant, tu as senti tout son corps se crisper à l’extrême, tu as même senti sa main empoigner furieusement tes mèches, un râle a résonné agréablement à tes oreilles, puis le feu de son sperme a rempli ton gosier par jets successifs, si nombreux que le souffle t’en manquait. Il a joui si violemment que tu en éprouves un plaisir si intense, et tu es si fière de toi. C’est un peu bête peut-être, mais oui, tu es simplement fière de l’avoir fait jouir ainsi, aussi vite et aussi ardemment.
Le menton calé sur son pubis, son sexe tout dégonflé encore entre tes doigts, tu regards vers son visage avec un sourire satisfait aux lèvres, mais ne parvient pas à capter son regard qui semble perdu dans les cieux. A-t-il son compte ? Tu n’espères pas, ton bas-ventre fourmille encore tellement d’envie, et tu voudrais quand même bien connaitre la sensation de son sexe au fond d’autre chose que ta gorge… « Mais ma parole, je suis une vraie obsédée » pense-tu intérieurement, mais cela te fait sourire. « Oui, j’ai envie, encore et encore, donnes-moi tout ce que tu as, bel inconnu ! ». Après lui avoir laissé un petit temps de répit, non sans caresser machinalement le dessous de ses bourses et son pénis en berne, tu reviens te mettre à califourchon au niveau de ses hanches, heureuse de le découvrir tout sourire et les yeux brillants. Ses mains remontent tout doucement, dans une caresse infiniment délicate, le long de tes cuisses, s’attardent un peu sur tes fesses qui apprécient grandement l’attention. Puis ses longs doigts parcourent ton torse pour venir emprisonner tes seins, tu t’abandonnes un instant… Tandis que sa main gauche garde un téton durci prisonnier, la droite redescend ton ventre, puis arrive plus bas. Là encore, tu acceptes de te laisser faire, et ses doigts font merveille. Tu fermes les yeux, les mains plantées sur son torse, alors qu’il caresse ton intimité. Ton bassin ondule par réflexe, et tu sens derrière tes fesses la chaleur d’une forme qui doit manifestement grossir et durcir à nouveau. Cette dernière sensation attise encore plus ton désir, et ses doigts qui entrent en toi souffle un vent encore plus intense sur les braises qui envahissent ton ventre. Tu es parcourue d’un frisson soudain, sans raison particulière, tu sens juste que ton corps réclames à nouveau la jouissance.
Mais cette fois-ci le match bascule, alors que tu t’apprêtes à te saisir de son membre, ses mains puissantes embarquent tes fesses pour te soulever littéralement jusqu’à son visage. Tu en laisses échapper un hoquet de surprise, oui, il vient de t’assoir d’autorité sur son visage, et sa bouche s’est aussitôt soudée à ton sexe. « Non mais qu’est-ce qu’il croit, que c’est lui qui commande ? ». Mais bien vite, ta volonté de meneuse fond sous ses coups de langues. Tu gémis déjà fortement, tu cries même quand ses mains viennent presser tes seins alors que sa bouche devient vorace. Oh, non, ça vient déjà, tu ne peux pas lutter… Recroquevillée sur sa tête, les mains crispées dans ses cheveux, grimaçante d’un vain effort de retarder l’échéance, tu jouis à nouveau, ton bassin tremblant sur son visage caché. Tu halètes au-dessus de lui, un peu perdue, à la fois baignée du plaisir intense, mais en même temps déconcertée. Jamais tu n’avais joui aussi vite, et deux fois de suite en plus. Que se passe-t-il ? Sans le vouloir, tu laisses échapper un petit grognement en te dégageant de son emprise, mais alors en te remettant debout, ton regard tombe à nouveau sur son sexe en pleine forme, et tout questionnement disparait. Tu viens de jouir quelques secondes plus tôt, et pourtant cette longue queue gorgée d’envie t’attire comme un aimant. Il fait si chaud, tout ton corps est engourdi mais pourtant tu ne penses déjà plus qu’à avoir cette forme entre tes cuisses, à la faire glisser au fond de toi.
Tu t’agenouilles à ses côtés. A peine une petite caresse de tes doigts et la voilà déjà toute dressée. Ta langue ne peut se retenir, tandis que tu sens aussi ses doigts qui ne se retiennent pas non plus de revenir en toi. Brrrrr, ça y est, ça recommence, tu as déjà envie de jouir. Non, non, et non, pas cette fois-ci, tu te dégages aussitôt, et, sans concession, tu viens t’empaler sur sa queue. Délicieuse brûlure que ce morceau de lui au fond de tes entrailles inondées, tu restes ainsi plantée au maximum, sentant tous les détails de son membre que tu serres le plus possible des parois de ton antre, concentrée sur ce plaisir intense de première pénétration. Mais ses mains viennent bien vite te réveiller, soulevant tes fesses pour lui laisser le loisir d’aller et venir en toi. Tu le laisses d’abord faire, toujours concentrée sur tes sensations. Il va doucement, dans d’amples oscillations sur toute la longueur de son pénis turgescent. Tu découvres même qu’il prend plaisir à le ressortir à plusieurs reprises, juste pour goûter au plaisir de te pénétrer à nouveau, et tu aimes cela. Puis tu bascules ton bassin, les bras en arrière, tes fesses pressant sur ses testicules, le bloquant au plus profond, remuant délicatement tes hanches pour un massage mutuel de vos sexes en communion. Il en laisse échapper un profond murmure et ses mains viennent remercier tes tétons brandis vers le soleil toujours incandescent. Tu te cambres encore un peu plus en arrière, faisant remonter ton bassin pour contrôler toi-même la pénétration. Tu fais glisser sa queue en toi à ta guise, pas trop vite, tu essayes de gérer cette fois la monté du désir. Ses grands bras devenus malgré tout trop courts ont lâché tes seins, l’un plaqué sur ton ventre, l’autre te caresse le clitoris. Le plaisir monte vite, très vite.
Tu amplifies tes mouvements, tes gémissements commencent à se faire entendre. Trop emballée, tu balances tellement que son sexe sort de ton doux fourreau. Dans un grognement frénétique, tu attrapes cet engin éjecté, rebascules en avant, et tout en attrapant sauvagement la bouche de ton partenaire pour un baiser des plus appuyés, tu l’engouffres à nouveau en toi. Dans cette nouvelle posture, il est désormais parfaitement libre de ses mouvements, et ne rate pas l’occasion de commencer à pilonner tes fesses d’un assaut d’office très fougueux. Ses mains se plantent dans tes hanches, il accélère, accélère encore, encore et toujours, tu entends son souffle haletant, presque rageur. Tout est en feu, il ne s’arrête plus, la tête te tourne. Tu as envie de l’embrasser encore, mais tout remue tellement, tu ne peux que le laisser faire et sentir ton sexe s’enflammer, tes fesses se faire marteler. Tu le sens alors venir en toi, et cette chaude décharge te déclenche aussitôt un orgasme, à l’unisson de ton hôte. Chaque chaude réplique t’arrache un nouveau cri, jusqu’à ce que, de guerre lasse, tu t’effondres sur son torse pour t’y souder telle une poupée désarticulée, ivre de plaisir.
Sa respiration est lente et profonde, tu restes l’oreille collée à sa poitrine alors que ses doigts fouillent tendrement ta chevelure emmêlée. Alanguie, songeuse, ta main glisse sur son ventre noyé de sueur pour venir toucher avec précaution ce qui reste de sa virilité. Sortant peu à peu de ta torpeur, tu sens à nouveau les rayons du soleil percer ta peau. Couverte de sueur également, l’eau clapotant tout près t’attire irrésistiblement, mais ton corps est si lourd, et tu es si bien sur ton inconnu caressant. Pourtant, la chaleur est si forte que tu finis par te résigner à quitter sa peau, tu te redresses, l’enjambes en direction de la mer qui t’appelle, et… et une main agrippe ton poignet. « Pas si vite » entends-tu. Te voilà entravée, restée dressée sur tes genoux, la main bloquée sur tes reins, tournant le dos à cet homme qui te retient là fermement et dont tu sens l’ombre venir te couvrir. Il est là, juste derrière toi, il vient se coller, son torse contre tes omoplates, sa bouche embrassant ton cou, ta nuque, ton épaule, sa main libre dessinant ton flan du bout des doigts, et… sa queue déjà dure appuyant contre tes reins ! Tu ne peux retenir un léger éclat de rire en découvrant ainsi qu’il est déjà en pleine érection, et d’ailleurs sa main qui te retient dirige la tienne à la rencontre de ce pieu bien dressé. Prisonnière toute consentante, tu obtempères avec délice, caressant cette verge qui durcit encore et encore entre tes doigts. Sur de ta pleine coopération désormais, il lâche sa prise pour laisser ses deux mains parcourir ton corps. Sa bouche devient vorace, et tu te contorsionnes pour lui offrir la tienne. Ses mains serrent si fort tes seins, tes tétons pincés entre ses doigts, c’est si intense que ta gorge laisse percer un cri au travers de vos baisers furieux. Malgré la position peu confortable, tu branles sans retenu son sexe gonflé à bloc. Manifestement ravi de ces attentions, il te rend la pareille d’une main glissée sur ton pubis. Mince alors, non, il va encore te faire jouir, c’est agaçant. Il glisse ses doigts en toi, alors que sa bouche mord ton cou, puis les ressort pour te masturber de plus belle. Tu pousses de petits cris, le plaisir monte encore comme une flèche.
Mais cette fois-ci, à ta grande surprise, il relâche son emprise au moment où tu pensais le point de non-retour atteint. Lâchant ta bouche, ton sein et ton sexe, il libère le sien de ta paume, et te bascule en avant pour te mettre à quatre pattes devant lui, s’offrant une vue imprenable sur tes sublimes fesses, luisantes et offertes.
Sans manière aucune, il te pénètre d’un coup de rein. C’est divin, tu t’en mords les lèvres et ne peux t’empêcher d’envoyer ta main te caresser un peu, au prix d’un équilibre des plus précaire. Il le remarque d’ailleurs, et, amusé, te laisse le loisir de poursuivre un peu, prenant le temps de parcourir tes fesses, ton échine et tes seins de caresses lascives. Toujours en douceur, il joue à nouveau à entrer et sortir de toi, et tu sens à ses murmures à quel point cet exercice lui plait. Tu participes d’ailleurs un peu à ce jeu, laissant un instant ton clitoris pour attraper son membre, le presser doucement contre ton sexe, et le guider en toi. Une, deux, trois fois, puis… Puis il guide à son tour ta main d’autorité pour que tu reprennes des appuis stables. Le message est clair, l’assaut commence. Tu l’entends se repositionner un peu, et son sexe te transperce brutalement. Ses mains s’incrustent dans tes hanches à en marquer ta peau. Sa main droite passe même dans tes cheveux, puis attrape ton épaule, alors qu’il commence à aller et venir de plus en plus fort. Le claquement de son bas-ventre contre tes fesses devient bruyant, tout balance, tourne autour de toi. Tu entends son souffle rageur. Il appuie sur tes reins, tu te cambres encore plus, tes seins frôlent le sable brûlant, il se repositionne et repart de plus belle. Tu n’arrêtes plus de crier, tu l’encourages même à poursuivre, plus vite, plus fort. Tu perds tout contrôle, tes seins se meurtrissent contre le sable, tu as le visage plaqué sur tes mains, tentant vainement d’amortir ses coups de boutoir de plus en plus violents. Cette fois, c’est toi qui explose bien avant lui, laissant échapper une incroyable vocalise alors qu’il attaque encore comme un dément. Inondée de bien-être, tu le sens encore aller et venir en toi à un rythme effréné, puis brusquement se retirer. Dans tes nuages roses de désirs assouvis, tu perçois alors la chaude sensation de son sperme qui arrose tes reins et tes fesses…
Le soleil, le bruit des vagues, c’est tout. Tu t’es effondrée par terre, du sable collé partout, le visage à moitié enseveli. Tu ne sais même plus où il est, tu as vaguement entendu un bruit de corps s’allongeant derrière toi, mais tu ne veux plus ouvrir les yeux, plus bouger, ton corps brûlant te semble peser une tonne. Pourtant, tel un instinct de survie, quelque chose te pousse à te trainer tel un félin vers les ondes rafraichissantes. Tu avances à quatre pattes jusqu’au pied des vagues, la fraicheur venant fouetter tes mains, puis tes genoux. Encore quelques mouvements épuisants et te voilà dans suffisamment d’eau pour te laisser porter, allongée, le visage immergé, baignée de cette eau qui semble glacée, mais qui te fait tellement de bien. Etourdie, enivrée, tu restes ainsi, promenée par les mouvements de l’océan, balancée de droite et de gauche, d’avant en arrière, roulant de temps à autre sur le dos pour respirer un peu, puis replongeant sur le ventre pour sentir encore le froid envelopper ton visage. Combien de temps ? Aucune idée, tu ne sais même pas s’il est encore là, tu veux laisser toutes ces brûlures de ton corps épuisé s’écouler dans ces eaux. Ta peau semble absorber toute la fraicheur de la mer, puis, petit à petit, le feu s’efface pour laisser place au bien-être. Tu flottes toujours comme un tronc abandonné, retenant ton souffle en fixant le fond sableux, quand une autre sensation vient se mêler aux caresses des vagues : une main ? Oui, une main sur ton mollet, une main fraiche qui remonte derrière ton genou, ta cuisse…
Tu sors la tête de l’eau, et au milieu des gouttelettes qui ruissèlent sur ton visage tu le vois, un sourire terriblement tendre aux lèvres, juste à côté de toi, accroupi dans les vagues, immergé jusqu’à la poitrine. Sa main est sur ta fesse et semble vouloir y rester. Cette belle prise en main, il t’attire doucement vers lui et t’embrasse. Tu t’accroupis face à lui, et vos baisers s’éternisent, à la fois tendres et passionnés, vos mains s’égarant de-ci, de-là, parcourant la peau de l’autre, parfois hors de l’eau, parfois dans les ondes. Il quitte un peu ta bouche pour embrasser ton cou, et glisser au passage quelques nouveaux compliments si élogieux que tu en rougis instantanément.
Tu te relèves, un brin provocante, debout devant lui, de l’eau jusqu’à mi-cuisse, des filets d’eau s’écoulant gracieusement de ta longue chevelure éparpillée jusqu’à ton ventre, convergeant vers ton sexe à hauteur de ses yeux. Tu plaques tes mains sur tes cheveux, basculant la tête en arrière dans une cambrure irrésistible, essorant tes longues mèches dans un petit bruit de cascade. Comme tu l’espère, il n’en perd pas une miette, dévorant de ses yeux de braise ta silhouette baignée de lumière, remontant de ton sexe, par ton ventre, vers tes seins pointés comme des armes. Quand tu regardes à nouveau vers lui, il est en train de sortir à son tour des eaux, ruisselant de toutes parts. Ton regard tout de suite attiré par une certaine zone, tu laisses échapper un « ohhhh » devant son sexe déjà dressé. Cette réaction le fait éclater de rire, et tu rougis encore une fois. Mais il ne te laisse pas le temps de l’embarras, venant aussitôt se coller à toi, ce dur objet de désir se collant à ton ventre alors qu’il t’embrasse fougueusement et que ses doigts s’enfoncent dans la tendre chair de tes fesses. Cette sensation de sa queue brûlante contre ton nombril te rend folle et tes ongles se plantent dans ses reins tandis que ta bouche devient carrément mordante. Loin de lui déplaire, cette agressivité semble le motiver encore plus et il te presse toujours plus fort contre lui, ses mains écartant et pétrissant tes fesses. Vos bouches ne se séparent plus et bataillent dans de grands bruits de souffles courts et de succions frénétiques. Une de ses mains s’échappe et se glisse entre vos ventres contractés pour te caresser juste là où tu bouillonnes…
Tu mords sa lèvre quand son doigt touche sa cible, tu as envie de lui crier des mots salaces, mais tu ne sais pas faire, enfin… tu n’oses pas. Mais sa main te brûle tellement, et sa queue… A leur tour, tes doigts se précipitent agripper son membre, avec une vigueur telle que cela lui en arrache un spasme. Tu laisses filtrer un rire canaille à travers vos baisers tout en commençant à le caresser doucement, puis bien vite avec beaucoup plus de fermeté et de vivacité. Ses doigts se synchronisent avec les tiens, vous vous masturbez l’un l’autre… Vos langues se délaissent, vos bouches s’écartent très légèrement, vos fronts collés, haletant tous les deux dans le souffle de l’autre. Il grogne, tu gémis. La sensation de son membre si énorme et si dur, prêt à exploser entre tes doigts qui s’agitent t’enivre… Il grogne encore, tu penses qu’il va jouir, mais non, de gestes vifs et autoritaires, il dégage tes doigts de leur victime, attrape tes fesses et te soulève dans les airs. Tu écarquilles tes beaux yeux en te sentant ainsi t’envoler et surplomber un bref instant son regard brillant. Tes jambes s’enroulent autour de ses reins, tu sens ses fesses contractées contre tes chevilles, puis tu sens… tu sens son sexe se placer sous toi, juste à l’orée de ton bas-ventre qui n’attend plus que cela. Tu es à sa merci, il contrôle tout par la seule force de ses bras, tu te contentes de plaquer tes mains sur ses omoplates, de braquer ton regard dans le sien, la bouche entrouverte dans un sourire béat.
Il te fait redescendre un peu, tout doucement, et tu sens tous les détails de sa verge qui entre peu à peu en toi. Tu ne mords plus ses lèvres, mais les tiennes, tu te mords les lèvres tellement la sensation est intense. Tu sens la pointe de tes seins plantée dans son torse se frayer un chemin en descendant au travers de sa toison. Puis remonter un peu, et descendre à nouveau. Tu as fermé les yeux, toute concentrée sur cette sensation de sa queue qui glisse en toi, et tu contractes tes abdominaux pour serrer le plus possible cette excitante forme au sein de tes entrailles. Tu accompagnes ses gestes de toute l’ampleur de ta cambrure, accrochée à cet éperon torride, gémissante, grimaçante, tes ongles déchirant son dos. A chaque fois qu’il te fait descendre complètement, le plaisir est tel qu’il t’en arrache un petit hoquet. D’ailleurs, à un de ces moments particuliers où il est au plus profond de toi, tu te sens basculer. La fraicheur d’une vague vient recouvrir tes épaules, puis tout ton dos, il vient de te déposer doucement dans quelques centimètres d’eau, sur le sable inondé bercé par la marée. Tu te laisses ainsi atterrir, ton bel amant toujours en toi, ses bras maintenant planté dans le sol de part et d’autre de ton cou.
Tu ne sens même plus la froidure de l’eau, ton corps se consume maintenant au rythme de ses hanches, le clapotis des vagues se mêlant aux saccades de son bassin. Il redescend sur ses coudes, tu sens le poids de son corps si grand couvrant le tien, il te dévore de baisers tout en continuant de te prendre lascivement. Il prend son temps, et le plaisir manifeste qu’il semble prendre à aller et venir en toi augmente encore ton désir. Son sexe aime le tien, et le tien le lui rend bien. Tes mains profitent pleinement de ses fesses, et sa bouche vient mordre tes tétons noyés dans les flux incessants. Ta chevelure danse dans les flots, la tête te tourne quand il accélère, tout oscille, balance, ondule autour de toi, sur toi, en toi. Il se soulève à nouveau à bouts de bras, martelant de toute la force de ses reins ton antre inondée de toute part. Il souffle, râle, tes gémissements se mélangent aux siens, tu chantes au milieux des eaux quand il implose dans un violent spasme… puis explose en toi. Tu sens chaque projection de son sperme en toi, accompagnée d’un profond coup de rein. Il jouit, les yeux clos, la bouche ouverte et haletante, puis reste soudé, son bas-ventre collé au tien. Après cet instant suspendu, il s’effondre sur toi, ses bras entourant ta tête, le nez blotti sur ton épaule, comme un enfant apeuré.
Ecrasée sous sa masse bien inerte, tu arrives d’une caresse appuyée à l’enjoindre à te laisser respirer. Il roule à ton côté, sur le dos, et tu te colles à lui pour l’embrasser tendrement, les vagues s’effaçant peu à peu avec la marée, désormais juste à vos pieds. Tu es si bien, tu ne peux y croire, il est là tout contre toi, les yeux clos mais les lèvres souriantes, tu ne peux t’arrêter de le couvrir de baisers attendris. La brûlure du soleil a disparu, la fatigue aussi, laissant juste place à une grande plénitude. Tu l’embrasses et l’embrasses encore, il reste passif mais souriant, tes mains se perdent sur son torse, sur ses côtes. L’astre solaire descend peu à peu, baignant vos corps enlacés d’une lumière plus chaude, plus caressante. Cette fois-ci, c’est toi qui lui parle. Toi si timide, tu lui confesses ton extase, ton bien-être, tes envies… Car oui, malgré toute cette avalanche de plaisir, tu fourmilles encore d’envie, et comme si tes paroles ne suffisaient pas, ta main devient tout de suite très explicite en plongeant vers son bas-ventre. Il ne bouge toujours pas mais son sourire semble de plus en plus franc. Après une légère caresse de son sexe encore sans vie, tu viens serrer entre tes doigts affamés ses bourses. Ses paupières s’ouvrent alors et il découvre que tu le fixes de tes yeux si étincelants. Relâchant ta pression, tu reprends au creux de ta paume son pénis encore léthargique, puis en posant un baiser léger sur sa joue barbue tu lui glisses un ingénu : « tu crois que tu pourrais encore ? ». Il rit de bon cœur : « Je n’en sais franchement rien, mais ce n’est pas l’envie qui m’en manque » lâche-t-il en passant une main sur tes fesses, l’autre plongeant dans tes cheveux pour amener ta bouche sur la sienne. Combien de temps cela fait-il ? Une heure ? Peut-être plus, ou peut-être moins… Pourtant, tu as l’impression que vos langues se sont toujours connues, il t’embrasse juste comme tu aimes, sans excès de fougue, juste ce qu’il faut pour faire monter ton envie du creux de ton ventre jusqu’à la pointe de tes seins. Au creux de ta paume la chaleur monte déjà. Mon Dieu, que tu aimes cette sensation d’un sexe qui grossit et durcit entre tes doigts, tu voudrais qu’il puisse bander ainsi pour toi, par toi, à longueur de journée.
En tout état de cause, pour l’instant il bande encore, et tu ne lâches plus ce sexe en pleine expansion, que tu gratifies de tes plus habiles caresses. Sa bouche s’enfuie brusquement, et dans une adroite contorsion il vient directement se ruer sur ton sein gauche. Sans détour, il suce, mord, tandis que ses mains commencent aussi à devenir pressantes. Tu en lâches ta brûlante prise pour t’assoir complètement sur lui et prendre sa tête entre tes mains alors que ses dents sur ton mamelon t’arrachent des bruits stridents. Ses bras te plaquent contre sa bouche, les tiens pressent dans sa chevelure, plus rien d’autre ne bouge que sa bouche sur ton sein, tu es entièrement tendue vers ton téton délicieusement meurtri par ses soins carnassiers. Il change alors de victime et tu ne bouges pas, tu ne peux plus te concentrer sur autre chose que cette morsure si vive mais si jouissive. Tu scandes des bribes d’encouragements incompréhensibles au milieu de gémissements déchirants. Ton sexe inondé s’écoule sur son ventre et la sensation de sa queue raide plaquée derrière tes fesses complète ton excitation.
Quand il laisse enfin ta poitrine respirer, haletante, tes tétons tendus comme tes flèches, tu appuies de tout ton poids tes mains sur ses pectoraux pour le plaquer au sol. Le souffle saccadé, tu le toises un instant, comme hésitante, les ongles restés plantés dans son torse, tels des griffes dans une proie. Puis, un peu brusque, tellement excitée, tu fais volte-face, ta bouche fondant sur son sexe pleinement déployé, plaquant ostensiblement ton bassin au-dessus de son visage ravi. Nul besoin d’explication ou de suppliques, il agrippe aussitôt tes fesses de ses puissantes et grandes mains, et sa bouche vient à la rencontre de ton sexe suppliant. Il te déguste avec un appétit non dissimulé, ce qui te rend d’autant plus avide à avaler sa queue. Assaillie de toutes part de sensations intenses, sa bouche, sa langue, ses mains qui pétrissent tes fesses, son sexe dans ta gorge, tu ne contrôles plus rien. Tu le suces furieusement, ôtant parfois ce délicieux engin de ta bouche pour le parcourir de tes doigts serrant fortement, le dessinant ensuite longuement du bout de ta langue. De son côté, il continue son travail d’expert, sa langue s’immisçant de plus en plus en toi, ses doigts l’accompagnant parfois, puis un index aventureux commençant à s’attarder sur une autre cible plus étroite. A bout de souffle, tu laisses un moment ta tête reposer sur son bas-ventre, fixant son pénis que tu caresses maintenant plus doucement entre tes doigts, alors que ton partenaire lui ne baisse pas le rythme de ses attentions à l’égard de ton bassin en feu.
Tu te laisses aller à profiter de tout ce plaisir qu’il te prodigue avec empressement, continuant d’admirer son sexe glissant entre tes doigts, quand tu sens son doigt masser de plus en plus précisément ton anus, dessinant la raie de tes fesses pour y revenir encore un peu plus pressant. Un murmure gourmand s’échappe de ta gorge pour l’encourager dans ces explorations, et, aussitôt, son doigt te pénètre. Tu ne peux réprimer un mouvement de ton bassin, poussant encore plus ton sexe contre sa bouche toujours alerte. Tu grimaces, concentrée, la bouche ouverte. Sa bouche ralentit, il te lèche plus lentement, mais son doigt s’enfonce complètement, ressort et rentre plusieurs fois, puis un second doigt le rejoint. Ta main libre griffe sa cuisse, tu deviens bruyante, l’autre main masturbant violemment son sexe apoplectique. Tu tentes de sucer à nouveau ce pieu si raide, mais l’exercice est difficile car il se contorsionne pour écarter encore plus tes fesses, sa langue venant se glisser à son tour au coeur de ton petit trou, qui ne l’est plus tant, plus si petit.
Sans concertation, ni mot ni même regard, vous lâchez tous deux vos excitantes prises, quittez vos positions respectives. Il s’allonge sur le côté, son sexe furieux en attente, et tu viens, docilement mais tremblante d’envie, t’allonger devant lui, pointant tes fesses offertes devant lui. Fébrile, tendu, bouillonnant de désir, il tente difficilement de se contenir, de prendre le temps, mais son pénis a déjà trouvé sa cible. Son prépuce est déjà au contact de ton anus, et tu accentues ta cambrure dans une invitation impossible à refuser. Tu accompagnes même ce geste d’un petit gémissement suppliant : tu le veux en toi, vite, tes entrailles te consument. Une bouche embrasse tes cheveux, ta nuque, mordille ton épaule tandis qu’une paume immense se plaque sur ton ventre. Tu gémis encore, impatiente, et presse de tes fesses sur sa queue si dure. Tu le sens enfin pousser de ses reins, tu sens le dessin de sa verge qui se fraye un chemin en toi. Ta tête a basculé en arrière, le visage figé, les yeux clos, la bouche grande ouverte dans un râle de désir culminant. Très lentement, sas à-coups, il se glisse entièrement dans ton cul réjoui. Tu lui cries ton plaisir, tentant difficilement de lancer en arrière ta main pour lui agripper les cheveux.
Il mord ton oreille juste au-moment où tu le sens au plus profond son ventre pressant de toutes ses forces contre tes fesses, sa main comprimant toujours ton ventre, vous bloquant ainsi, incrustés l’un dans l’autre. Il commence à bouger lentement, sa main glissant un peu plus bas pour te caresser, comme si tu avais besoin de plus de stimulation. Tu te mords les lèvres, te pince un téton prêt à exploser. Son membre coulisse dans ton cul devenu incandescent avec grande amplitude, accélérant peu à peu, ses doigts titillant vivement ton clitoris. Il ralentit, et encore une fois tu constates qu’il prend un malin plaisir à se retirer de toi pour mieux entrer à nouveau, t’arrachant un profond cri à chaque renouvellement de ce vicieux exercice. Le plaisir est tellement partagé que tu ne peux refreiner un orgasme explosif au cours duquel tout ton bassin se contracte sur sa queue, lui arrachant un puissant frisson. Mais il n’a pas l’intention de s’en arrêter là et continue de marteler ton joli derrière de ses assauts avides, et ta jouissance se prolonge de répliques interminables. Tous les sens embrumés, tu te laisses faire, devenue la passive victime de ses mouvements, la tête baissée vers ton buste secoué de spasmes, complètement incapable d’agir ou de penser, perdue dans un continuum de plaisir.
Il halète contre ta nuque, excité en diable de te procurer une telle jouissance, puis sa tête s’éloigne, ses mains poussent ton buste en avant, son bassin te pilonnant avec tout ce qui lui reste d’énergie. Reprenant un peu conscience et le sentant à bout de souffle, tu décides de reprendre les choses en main. D’une main caressante, tu arrives à lui faire comprendre tes intentions, et il te laisse te dégager de lui. Souriante, lumineuse, si belle, tu te retournes vers cet amant épuisé, le fait rouler sur le dos, et enserre son sexe violacé dans ta main. Prestement, tu le caresses, sentant cet engin luisant glisser à toute vitesse entre tes doigts. Tu l’avales, le suces bruyamment, ta tête balançant vers son pubis avec empressement, tu ne veux plus laisser retomber son excitation. Ses forces semblent l’abandonner, il se laisse totalement faire, seul son ventre se contractant de plus en plus à mesure que tu sens son plaisir monter et monter encore. Il ne peut le voir, mais tu jubiles en le sentant au bord du gouffre, au point que ton bas-ventre fourmille encore quand tu le sens enfin exploser dans ta bouche, sa chaude semence envahissant ta gorge. Tes yeux parviennent à attraper son regard alors qu’il jouit sans retenu, et ses pupilles dilatées sont ta plus belle récompense. Il soutient ton regard jusqu’à la dernière secousse, puis laisse sa tête retomber lourdement dans le sable, totalement vidé. Ivre du plaisir, reçu et donné, tu souries toute seule en continuant de lécher doucement sa verge déclinant peu à peu. Tu sais que vos deux corps ne pourront aller plus loin, mais pourtant tu ne veux plus lâcher cet objet qui t’a procuré tant de plaisirs.
La lumière est faible à travers les arbres. Tu es face à la porte de ta voiture, ne sachant même plus comment tu es arrivée là. Rien ne te reste de ta marche de retour, tu devais être ailleurs. Tu ne te souviens même pas de t’être rhabillée, tout est flou et brumeux, seul ton corps te rappelle la réalité de tout ce qui vient de se passer. En ouvrant la portière, te revient comme un flash ce dernier baisers langoureux, épuisé mais si intense. T’asseyant et mettant le contact, telle une somnambule, des mots résonnent dans ton cerveau. Ces mots qu’il a glissé à ton oreille quand vos corps se sont séparés à regret. Ces mots, ces deux simples mots… « A demain ? ».
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Re: Sur le sable abandonnée...
Dois je prendre cela pour un commentaire positif ?choc'o pom a écrit:
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Re: Sur le sable abandonnée...
Elle est sans doute entrain de chercher la plage, j'ai commencé aussi mes recherches...not-so-dark a écrit:Dois je prendre cela pour un commentaire positif ?choc'o pom a écrit:
Christel22- Messages : 17660
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Re: Sur le sable abandonnée...
Je sais déjà où elle se trouve 🤭
choc'o pom- Messages : 534
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Re: Sur le sable abandonnée...
Chuuuuuutchoc'o pom a écrit:Je sais déjà où elle se trouve 🤭
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Re: Sur le sable abandonnée...
MERCI NsD ta plume a joliment caressé mes rêves ce matin. Fichtre donne nous la ref de ton livre que je me le procure de suite. Tu écris si bien que j'en ai entendu le ressac de ces va et vient. Puis c'est la douce voix de BB qui fredonne le sable abandonné pour rappeler l'image de ton sublime texte. Sur que ces notes résonnent pour toute cette journée comme un rappel de la lecture matinale que tu nous a gentillement offert avec toute ton âme de poète maître queue. MERCI
Lucky- Messages : 15409
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Re: Sur le sable abandonnée...
Oh je veux savoir !!choc'o pom a écrit:Je sais déjà où elle se trouve 🤭
Christel22- Messages : 17660
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Re: Sur le sable abandonnée...
Christel22 a écrit:Oh je veux savoir !!choc'o pom a écrit:Je sais déjà où elle se trouve 🤭
Vu le temps d'accès j'imagine bien une calanque peu connue mais idyllique du côté de Cassis, ou en Corse...
Dernière édition par Lucky le Dim 20 Juin 2021, 17:36, édité 1 fois
Lucky- Messages : 15409
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Re: Sur le sable abandonnée...
Puis-je me permettre une question pour ton texte?not-so-dark a écrit:Plus océanique
Toutes ressemblance avec une ... n'est que pure coïncidence? ou tu as couché sur le clavier une expérience sablonneuse perso?
Lucky- Messages : 15409
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Re: Sur le sable abandonnée...
Bien sûr que tu peux te permettre la questionLucky a écrit:Puis-je me permettre une question pour ton texte?not-so-dark a écrit:Plus océanique
Toutes ressemblance avec une ... n'est que pure coïncidence? ou tu as couché sur le clavier une expérience sablonneuse perso?
Mais étant NSD je me permettrai quand même de garder ma part d'ombre
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roro56- Messages : 5498
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Re: Sur le sable abandonnée...
Rhooooo la la
J’ai enfin des heures de ma lecture préférée au monnnnnde 🤩🤩🤩🤩🤩🤩🤩
Merci
J’avais plus lu qlq de chose de joli depuis…..pffff des lustres
J’ai enfin des heures de ma lecture préférée au monnnnnde 🤩🤩🤩🤩🤩🤩🤩
Merci
J’avais plus lu qlq de chose de joli depuis…..pffff des lustres
Salamandre55- Messages : 295
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Re: Sur le sable abandonnée...
Je ne m'en lasse pas non plus de la relire de temps en temps...Salamandre55 a écrit:Rhooooo la la
J’ai enfin des heures de ma lecture préférée au monnnnnde 🤩🤩🤩🤩🤩🤩🤩
Merci
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Christel22- Messages : 17660
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Re: Sur le sable abandonnée...
Toujours ravi que cela plaiseSalamandre55 a écrit:Rhooooo la la
J’ai enfin des heures de ma lecture préférée au monnnnnde 🤩🤩🤩🤩🤩🤩🤩
Merci
J’avais plus lu qlq de chose de joli depuis…..pffff des lustres
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Re: Sur le sable abandonnée...
Punaise on s'y serait cru
J'ai vraiment adoré la lecture et merci pour le partage
J'ai vraiment adoré la lecture et merci pour le partage
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Re: Sur le sable abandonnée...
Oh, je n'avais pas vu ton message, merci beaucoup pour ton commentaire, et très heureux que cela te plaiseEzia a écrit:Punaise on s'y serait cru
J'ai vraiment adoré la lecture et merci pour le partage
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Re: Sur le sable abandonnée...
J'adore les récits érotiques et c'est vrai que tu as une jolie plumenot-so-dark a écrit:Oh, je n'avais pas vu ton message, merci beaucoup pour ton commentaire, et très heureux que cela te plaiseEzia a écrit:Punaise on s'y serait cru
J'ai vraiment adoré la lecture et merci pour le partage
C'est marrant de te lire autrement que dans le sarcasme ou l'ironie
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Re: Sur le sable abandonnée...
Il aime cacher ses qualités... La timidité sans doute !Ezia a écrit:
J'adore les récits érotiques et c'est vrai que tu as une jolie plume
C'est marrant de te lire autrement que dans le sarcasme ou l'ironie
Christel22- Messages : 17660
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Re: Sur le sable abandonnée...
Laisses moi en douter, il a plutôt ses affinitésChristel22 a écrit:Il aime cacher ses qualités... La timidité sans doute !Ezia a écrit:
J'adore les récits érotiques et c'est vrai que tu as une jolie plume
C'est marrant de te lire autrement que dans le sarcasme ou l'ironie
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Re: Sur le sable abandonnée...
Ezia a écrit:
J'adore les récits érotiques et c'est vrai que tu as une jolie plume
C'est marrant de te lire autrement que dans le sarcasme ou l'ironie
Je t'invite à lire les miens Ezia sauf que c'est du vécu !
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Re: Sur le sable abandonnée...
Ils sont ou ? dans le même post ?FLOKI a écrit:Ezia a écrit:
J'adore les récits érotiques et c'est vrai que tu as une jolie plume
C'est marrant de te lire autrement que dans le sarcasme ou l'ironie
Je t'invite à lire les miens Ezia sauf que c'est du vécu !
J'irai les lire bien sûr mais là je vais partir
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Re: Sur le sable abandonnée...
MerciEzia a écrit:J'adore les récits érotiques et c'est vrai que tu as une jolie plumenot-so-dark a écrit:Oh, je n'avais pas vu ton message, merci beaucoup pour ton commentaire, et très heureux que cela te plaiseEzia a écrit:Punaise on s'y serait cru
J'ai vraiment adoré la lecture et merci pour le partage
C'est marrant de te lire autrement que dans le sarcasme ou l'ironie
Mais je ne pense pas tant donner dans le sarcasme que ça, c'est ce que tu trouves ? J'ai certainement un humour caustique mais je ne cherche pas à être blessant
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Re: Sur le sable abandonnée...
z'êtes gentils, tous, avec vos essais érotiques
mais, par comparaison, quand bruno (qui est déjà bien parti) va sortir le sien, les vôtres, ce sera du pipi de chat !!!!!!!!
ou de souris
mais, par comparaison, quand bruno (qui est déjà bien parti) va sortir le sien, les vôtres, ce sera du pipi de chat !!!!!!!!
ou de souris
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Christel22, isard et roro56 aiment ce message
Re: Sur le sable abandonnée...
Il (NSD) nous a quitté ce we de son plein gré, c'est son choix on le respecte mais que ces interventions même rare ces derniers mois nous manquent déjà. Lire "Invité" comme auteur de texte aussi bien couché me gêne, espérons que NotSoDark se réincarne ici un jour prochain.
Dernière édition par Lucky le Lun 01 Mai 2023, 12:26, édité 1 fois
Lucky- Messages : 15409
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Re: Sur le sable abandonnée...
Ma souris. Tu chauffes déjà ou j'ai un loupé, qui est Bruno!Belphégor a écrit:z'êtes gentils, tous, avec vos essais érotiques
mais, par comparaison, quand bruno (qui est déjà bien parti) va sortir le sien, les vôtres, ce sera du pipi de chat !!!!!!!!
ou de souris
Celui des inconnus?
Lucky- Messages : 15409
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Re: Sur le sable abandonnée...
non, regarde très très hautLucky a écrit:Ma souris. Tu chauffes déjà ou j'ai un loupé, qui est Bruno!Belphégor a écrit:z'êtes gentils, tous, avec vos essais érotiques
mais, par comparaison, quand bruno (qui est déjà bien parti) va sortir le sien, les vôtres, ce sera du pipi de chat !!!!!!!!
ou de souris
Celui des inconnus?
la-souris- Messages : 3455
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Re: Sur le sable abandonnée...
Notre super sinistre de l économie qui tente de copier Marlène, c'est du lourdLucky a écrit:Ma souris. Tu chauffes déjà ou j'ai un loupé, qui est Bruno!Belphégor a écrit:z'êtes gentils, tous, avec vos essais érotiques
mais, par comparaison, quand bruno (qui est déjà bien parti) va sortir le sien, les vôtres, ce sera du pipi de chat !!!!!!!!
ou de souris
Celui des inconnus?
On sent qu'il bosse dur
Christel22- Messages : 17660
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Re: Sur le sable abandonnée...
Oups je viens de capter avec décodeur qu'on parlait de l'actualité littéraire de nos gouvernants!!!Belphégor a écrit:non, regarde très très hautLucky a écrit:Ma souris. Tu chauffes déjà ou j'ai un loupé, qui est Bruno!Belphégor a écrit:z'êtes gentils, tous, avec vos essais érotiques
mais, par comparaison, quand bruno (qui est déjà bien parti) va sortir le sien, les vôtres, ce sera du pipi de chat !!!!!!!!
ou de souris
Celui des inconnus?
MéKiléKON
Lucky- Messages : 15409
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Re: Sur le sable abandonnée...
( en mode chipie)Christel22 a écrit:
Notre super sinistre de l économie qui tente de copier Marlène, c'est du lourd
On sent qu'il bosse dur
copier ou plus ?
non, là, je médis : monsieur mutuelle est déjà sur le coup
la-souris- Messages : 3455
Date d'inscription : 23/11/2020
Christel22, Lucky et roro56 aiment ce message
Re: Sur le sable abandonnée...
Lucky a écrit:Il (NSD) nous a quitté ce we de son plein gré, c'est son choix on le respecte mais que ces interventions même rare ces derniers mois nous manque déjà. Lire "Invité" comme auteur de texte aussi bien couché me gêne, espérons que NotSoDark se réincarne ici un jour prochain.
je pense pareil.
Lilith_K- Messages : 305
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Christel22, Lucky et roro56 aiment ce message
Re: Sur le sable abandonnée...
Lilith_K a écrit:Lucky a écrit:Il (NSD) nous a quitté ce we de son plein gré, c'est son choix on le respecte mais que ces interventions même rare ces derniers mois nous manque déjà. Lire "Invité" comme auteur de texte aussi bien couché me gêne, espérons que NotSoDark se réincarne ici un jour prochain.
je pense pareil.
Et moi donc...
Christel22- Messages : 17660
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Flyman49- Messages : 3564
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la-souris, Christel22, isard, Lucky et roro56 aiment ce message
Re: Sur le sable abandonnée...
ouille !
il serait temps que j'apprenne à bien me tenir
mes excuses, pas sincères, comme d'hab
la-souris- Messages : 3455
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Christel22, isard et roro56 aiment ce message
Re: Sur le sable abandonnée...
J'avoue que quand j'ai entendu parlé de "je suis dilatée comme jamais" et "renflement brun" Je n'y ai pas cru et pourtant
J'avoue qu'entre schiappa et lui on est pas aidé
mais on sait pas peut être que chacun parle de l'autre dans son livre et qu'une passion dévorante les animes
J'avoue qu'entre schiappa et lui on est pas aidé
mais on sait pas peut être que chacun parle de l'autre dans son livre et qu'une passion dévorante les animes
roro56- Messages : 5498
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